Questionnaire sur le sentiment d’appartenance à la Bretagne en Loire-Atlantique

Dans le cadre d’un stage au sein de Bretagne Prospective, Ismaël Morvan effectue une étude sur le sentiment d’appartenance à la Bretagne en Loire-Atlantique. L’idée est d’estimer le nombre de personnes se sentant liées à la Bretagne et surtout d’avoir des informations plus détaillées sur la manière dont s’exprime ce sentiment d’appartenance : s’il est plutôt urbain ou rural, s’il y a un lien étroit entre la participation à des événements culturels bretons et le fait de se sentir proche de cette culture, si les citoyens arrivés récemment en Loire-Atlantique se sentent bretons, si cela touche plutôt les jeunes générations etc… Le but est de comprendre ce qui se cache derrière les simples déclarations « je me sens breton » ou « je ne me sens pas breton ».

Si vous êtes habitant de Loire-Atlantique, n’hésitez pas à répondre à ce court questionnaire !

E stern va frantad micherel e Breizh Diawel e kasan da benn ur studiadenn a-zivout ar santad perzhouriezh e Breizh e Liger-Atlantel. Ar mennozh zo prizañ an niver a dud o santout ul liamm gant Breizh ha dreist-holl kaout titouroù munudaouetoc’h gant an doare ma vez eztaolet ar santad perzhouriezh : mard eo kentoc’h kêriek pe bloueek, mar bez ul liamm strizh etre ar c’hemer perzh e darvoudoù sevenadurel breizhat hag ar fed da santout e vezer tost diouzh ar sevenadur-se, mar bez an nevez keodedourion a Liger-Atlantel oc’h en em santout breizhat, mar sell kentoc’h ouzh ar remziadoù yaouank h.a… Ar pal zo kompren ar pezh zo a-dreñv an dislkeriadennoù “breizhat en em santan” pe “n’en em santan ket breizhat”.

Mar annezit e Liger-Atlantel na dermit ket da respont d’ar c’houlennaoueg verr-mañ !

https://form.dragnsurvey.com/survey/r/1c5d4eb1

 

 

Imagina : en renfort de l’attractivité et de la visibilité des espaces de proximité

Imagina : en renfort de l’attractivité et de la visibilité des espaces de proximité

Un commerce localisé en cœur de commune doit être pensé comme un espace de proximité (espace de proximité : le commerce + le contexte urbain qui s’y juxtapose). Il ne s’agit pas d’une réflexion uniquement focalisée sur l’usage commercial du numérique. Il s’agit d’identifier l’ensemble des pratiques et usages pour lesquels le numérique est pertinent. Le fait de parcourir un centre urbain ne constitue pas un acte unique d’achat. C’est également un acte de loisir qui se veut agréable, pratique, accessible… et pour cela le numérique est également un outil adéquat.

Espace de circulation, de rencontre ou encore de divertissement, l’espace public est le socle de la vie urbaine. En accord avec les propos de Merlin et Choay, « l’espace public est formé par une propriété et par une affectation d’usage » . La qualité de cet espace qui se juxtapose aux commerces est un facteur constituant d’une expérience client réussie. Un lieu public qui renvoie une image positive car jugé fonctionnel, pratique et agréable par l’usager, est plus enclin à être fréquenté. C’est autant la capacité de l’espace à fixer les usagers et potentiels clients, que la capacité de l’espace à accroître la visibilité des commerces qui doivent être évaluées.

La mise en valeur de l’espace public : un facteur influant de la fréquentation des commerces

Plusieurs éléments justifient la mise en valeur ou non de l’espace public, et plus précisément d’une place publique : la présence de l’eau, la présence de verdure et son entretien, le nettoyage de l’espace minéral, la collecte des déchets, la mise en valeur du mobilier et du patrimoine bâti, etc. Une fois cette mise en valeur effectuée, il appartient à la municipalité d’optimiser ce retour sur investissement. Comment ? En optimisant la médiatisation des valorisations effectuées. Il s’agit de véhiculer, via un maximum de supports, l’image positive renvoyée par un lieu donné. Il faut permettre à un maximum d’individus de prendre connaissance du caractère exceptionnel de tel ou tel site. Le but étant d’y attirer ces individus, locaux comme touristes, afin qu’ils y pratiquent l’espace et, indirectement, qu’ils côtoient les commerces de proximité.

Imagina : l’application des lieux connectés

Imagina, start-up vannetaise, contribue à une meilleure lecture du territoire. Comment ? Par l’intermédiaire de balises Beacon installées dans des lieux stratégiques. Ces balises envoient des notifications aux smartphones équipés de l’application Imagina. Cette application permet, entre autres, de recenser les éléments patrimoniaux localisés à proximité et informe l’individu sur l’histoire ou le caractère exceptionnel de ces derniers. Tel un coup de projecteur sur l’environnement urbain, c’est l’application idéale pour renforcer la fréquentation des sites valorisés et offrir aux utilisateurs des balades de qualité. Cela contribue à l’attractivité d’un cœur de commune.

Imagina : une nouvelle interface entre vendeurs et consommateurs

En effet, les notifications permettent également d’informer le visiteur en temps réel sur les offres commerciales de proximité. C’est un réel coup de pouce pour les commerces qui souhaitent être trouvés et se faire connaître. Simple d’usage et bon marché, cette plateforme est complémentaire aux réseaux sociaux pour être visible numériquement. Surtout, l’usage de cette technologie permet aux commerçants de proposer une expérience client particulière et innovante. D’ailleurs, dans un souci d’efficacité, il est possible pour l’usager de sélectionner les informations qui lui sont transmises et ainsi optimiser son expérience.

En soi, la plateforme fait l’inventaire de l’ensemble des points d’intérêt et informations nécessaires à un périmètre donné (disponibilité des parkings, etc.). Imagina, c’est l’équivalent d’une application de ville où les commerces sont pleinement intégrés. De plus, au-delà de l’expérience proposée aux usagers-clients, l’application permet de recueillir des statistiques sur les flux piétons. Ce sont autant de données importantes pour implanter un futur commerce, mener des actions sur la communication, ou tout simplement optimiser la circulation des individus.

Vincent Tual, Bretagne Prospective

L’Usine Agro du Futur : BDI lance une enquête

L’Usine Agro du Futur : BDI lance une enquête

Dans le cadre du programme régional Usine Agro du Futur, Bretagne Développement Innovation vient de lancer une enquête auprès des industries agroalimentaires et des équipementiers de la filière. BDI a été en effet missionnée en 2019 pour développer un programme, l’Usine agroalimentaire du futur, sur 3 ans visant à accentuer la modernisation de l’outil industriel agroalimentaire. Cet axe s’inscrit dans la dynamique : innover et bien produire pour contribuer à faire rayonner « la Bretagne du bien manger ».

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Article publié sur agro-media.fr

Le Breton Alain Glon ouvre une usine pilote en Chine

Article publié dans Ouest-France du 18 mai

L’entrepreneur morbihannais Alain Glon, associé à une université chinoise, vient d’ouvrir, dans le Shandong, une usine pilote, vitrine du savoir-faire français en matière de nutrition animale.

Si des Chinois investissent en Bretagne, comme Synutra, fabricant de poudre de lait à Carhaix, des industriels bretons savent aussi partir à la conquête des énormes potentialités du marché agroalimentaire chinois. « Si on ne va pas à la Chine, c’est la Chine qui viendra à nous… », pronostique Alain Glon.

L’ancien dirigeant du groupe Glon-Sanders, leader français de l’alimentation animale, connaît l’Asie de longue date. Au-delà de contacts commerciaux, il y a aussi noué, au fil du temps, de solides « relations humaines », dans le Shandong notamment, la province chinoise jumelée à la Bretagne, et, comme elle, grande région d’élevage.

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