La marque Vrai interroge les consommateurs et les producteurs

La marque Vrai interroge les consommateurs et les producteurs

Pour repositionner sa marque bio Vrai, Triballat Noyal a organisé une consultation pour répondre « aux vraies questions » des consommateurs et des producteurs.

Du 1er juin au 31 juillet 2020, la marque de produits laitiers bio Vrai a ouvert une consultation sur la plate-forme web Lesvraiesquestions.com

Consommateurs, producteurs et salariés étaient invités à poser leurs questions sur les produits Vrai (ultra-frais vache, brebis, chèvre, fromages, crème fraîche). « Triballat Noyal est pionnier des produits laitiers biologiques », rappelle Sonia Jolly, chef de groupe Bio chez Triballat Noyal.

L’intégralité de l’article

Article de Véronique  Bargain publié sur réussir.fr

 

 

La marque Prince de Bretagne va doubler sa production de légumes bio

La marque Prince de Bretagne va doubler sa production de légumes bio

Prince de Bretagne certifiera 100 % de ses exploitations en Haute valeur environnementale (HVE) d’ici à 2022, vient d’annoncer la marque maraîchère bretonne. Actuellement, Prince de Bretagne compte 25 % de maraîchers plein champ et 50 % de maraîchers sous abri certifiés HVE. Deux chiffres qu’elle se projette de doubler en 2021, afin d’atteindre la pleine HVE en 2022.

L’intégralité de l’article

Article de Christophe Violette publié sur ouest-france.fr

Algo Paint : la peinture bretonne bio avec des algues et désormais des… coquilles Saint-Jacques

Créée en 2017, l’entreprise Algopaint de Vern-sur-Seiche est depuis longtemps pionnière sur l’usage des algues qui a fait sa renommée. 98 % de sa peinture est réalisée à partir de matériaux biosourcés. Le procédé rappelle que l’alliance terre-mer est en Bretagne féconde, très ancienne (le maërl par exemple) et a souvent été ici un levier de l’innovation. D’ailleurs, Algopack, cette fois à Saint-Malo, crée déjà des produits rigides à base d’algues et apporte ici des substituts au plastique. Désormais, c’est le domaine de la peinture avec une nouvelle innovation peu commune permettant de valoriser les coquilles Saint-Jacques, autre ressource bretonne notamment en baie de Saint-Brieuc. On sait en effet que ces amas coquilliers étaient pour lors en mal d’exploitation, pouvaient même éventuellement être perçus comme des « déchets ». Or, après deux ans de recherche, elles se révèlent être des coproduits permettant de rajouter de la poudre aux peintures par algues déjà élaborées et proposées. D’avoir de fait une gamme complémentaire un peu plus résistante et propice aux murs extérieurs. Des algues pour l’alimentaire, la médecine, comme alternative aux antibiotiques (Olmix), la peinture (Algopaint). Le ver marin comme substitut au sang avec l’aventure prodigieuse d’Hemarina. Désormais les coquilles de Saint-Jacques comme un nouveau chemin de pèlerinage vers la fabrique de produits plus durables et écologiques. Les ressources de la nature bretonne n’ont  pas fini d’étonner. Avec cette mixité armor / argoat originale, créatrice d’emplois (la nouvelle usine est à Cesson) et à explorer pour de nouveaux débouchés. Voir leur site : algopaint

Bretagne Prospective

(photo Le Télégramme)

Breizhicoop. Le supermarché coopératif et participatif de Rennes

Breizhicoop. Le supermarché coopératif et participatif de Rennes

Dans le quartier du Blosne à Rennes se trouve un supermarché un peu différent… Il s’agit de Breizhicoop. Dans ce supermarché 100 % coopératif et participatif, les adhérents sont à la fois propriétaires de parts sociales, travailleurs bénévoles et également… clients ! Mais ce n’est pas tout. En échange de trois heures de travail bénévole par mois, les adhérents peuvent se nourrir de produits locaux, souvent issus de l’agriculture biologique et ce, proposé au prix d’équilibre, aussi bien pour les producteurs que les consommateurs.

L’intégralité de l’article

Article de Lucie Le Strat publié sur eco-bretons-info

Antoine fait la première récolte de la plus grande houblonnière bio de Bretagne

Antoine fait la première récolte de la plus grande houblonnière bio de Bretagne

Il y a 3 ans naissait un rêve. Ce rêve prenait forme ensuite fin 2018 avec l’installation d’Antoine et de sa compagne Anaïs, dans une ancienne ferme laitière de Brélidy (22), entre Guingamp et Tréguier. Ils avaient décidé de la transformer en houblonnière. Avec l’aide des agriculteurs du coin et de leurs tracteurs, ils ont planté 220 poteaux de 8 m de haut, avec 24 km de câbles tendus pour accueillir une plante grimpante sur 4 hectares : du houblon. Planté avec des élèves au printemps 2019, il arrive à maturité en ce moment – dixit l’UCO, l’Université de Guingamp qui s’est chargée de calculer le taux de matière sèche dans la plante. Solidarité toujours.

L’intégralité de l’article

Article d’Axel Perret publié sur francebleu