Bretagne : « De l’air »… Comment le confinement a changé le marché immobilier

Bretagne : « De l’air »… Comment le confinement a changé le marché immobilier

Les agences immobilières ont rouvert dans l’inconnu, sans savoir à quelle sauce elles allaient être mangées. Après deux mois de confinement, force est de constater que les clients sont rapidement revenus et que le marché de l’immobilier est bien loin de l’effondrement qu’on lui promettait. En Bretagne, où la maison individuelle est reine, le regain d’activité est net. Si la horde de Parisiens trop longtemps cloîtrés en appartement n’a pas débarqué, les demandes des acquéreurs ont tout de même changé. Ces derniers demandent de plus en plus « de l’air », selon les notaires de la région.

« La Bretagne a des atouts pour la qualité de vie, elle est attractive ». Damien Ruaud semble rassuré.

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Article de Camille Allain publié sur 20minutes.fr

Transports Le Goff choisissent Scania biodiesel

Transports Le Goff choisissent Scania biodiesel

Les Transports Le Goff, entreprise familiale basée à Pouldreuzic et Quimper dans le Finistère depuis 1928, viennent de recevoir les clés de leur premier véhicule biodiesel. Ce premier pas vers une énergie alternative au gazole a été accompagné par le distributeur Scania Aubrée Garages, et a donné naissance à un porteur atypique type G 450 8×2/*6 équipé d’une grue et benne pour la collecte du verre ménager dans une configuration très particulière pour ce porteur Scania avec un tridem à l’arrière, deux essieux directionnels et relevables et un seul essieu moteur.

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Article publié sur transportissimo.com

Jean-Marie Le Clézio souhaiterait une Bretagne autonome

Jean-Marie Le Clézio souhaiterait une Bretagne autonome

A l’occasion de la sortie de son livre «Chanson bretonne», le prix Nobel de littérature Jean-Marie Gustave Le Clézio, invité dans l’émission 28minutes de la chaîne de télévision ARTE, parle de sa Bretagne, le «seul pays stable» de son parcours itinérant, du drame de la disparition de la langue bretonne, et de l’autonomie qu’il souhaiterait pour ce pays.

Article de Philippe Argouarch publié sur le site de l’ABP

Le numérique, force de vente supplémentaire ?

Le numérique, force de vente supplémentaire ?

Dans une étude menée par Vincent Tual, Bretagne Prospective a étudié comment le numérique pouvait rendre plus attractifs les commerces et les activités de nos centres. Une façon aussi d’attirer les jeunes à choisir le commerce de proximité.

Le numérique bouleverse profondément notre société et ce n’est qu’un début. Ce processus modifie l’organisation des entreprises, la production des biens et encore l’offre de services. Surtout, il a largement modifié la manière de consommer des particuliers. D’après l’AFNIC, en France, 80% des achats non alimentaires (services, travaux, etc.) débutent par Internet. Les consommateurs sont de plus en plus équipés et connectés. En Bretagne, d’après des données issues d’une enquête menée par Marsouin en 2017, la transition digitale est assimilée différemment par les artisans et les PME. Tout d’abord, plus de trois PME sur quatre disposent d’un site internet. Mais moins d’un artisan sur deux. Concernant la vente sur Internet, les chiffres sont plus faibles. Seuls 5% des TPE et 15% des PME la pratiquent. L’enjeu est donc très fort.

L’objet de cette étude est d’analyser, à travers le prisme du numérique, les facteurs renfonçant les échanges et pouvant influer positivement sur la fréquentation d’un espace de proximité. Les facteurs suivants ont été soulignés :
– l’accessibilité des usagers,
– la mise en valeur de l’espace public,
– la visibilité numérique des commerces,
– l’expérience d’achat proposée.
Le numérique n’est pas l’unique facteur influant sur la qualité de l’expérience client proposée par un espace. Toutefois, sa maîtrise et son usage sont autant d’atouts qui permettent d’intégrer les nouveaux modes de consommation ou encore de renforcer l’attractivité d’un cœur de commune.

Afin d’apporter des éléments de réponses sur les habitudes de consommation des jeunes Bretons, et de déterminer les attentes de ces jeunes vis-à-vis de leurs commerces et services de proximité, une enquête a été menée par Bretagne Prospective en extension de l’étude initiale. 223 Bretons âgés entre 18 et 30 ans ont répondu à un questionnaire, suffisant pour dégager l’essentiel des tendances. Des évidences ont pu être questionnées, des hypothèses confirmées, des éléments prospectifs et d’actions soulevés. Sans pouvoir ici tout détailler, l’enquête prouve une très forte appétence des jeunes pour les commerces de proximité. A l’inverse, pour 66,5% des jeunes Bretons interrogés, leur exposition numérique est insuffisante et ne permet pas concrètement d’accéder aux services locaux. Il existe donc un relais défaillant. A renforcer. A privilégier. De même, si la question de la proximité est souvent envisagée sous l’angle des services de proximité, nos jeunes semblent tout aussi sensibles aux questions de liens, d’accueil, au fait de passer « un bon moment ». Comme si le numérique était espéré comme un lien pour la vie « réelle ». En l’occurrence, l’étude prouve que le commerce de demain semble se construire autour de 4 éléments : Numérique/Rassembleur/Agréable/Durable.

 

Le Diplôme d’Etudes Celtiques (D.E.C.) : inscriptions ouvertes !

Le Diplôme d’Etudes Celtiques (D.E.C.) : inscriptions ouvertes !

C’est une formation relative à la Bretagne et aux pays celtiques, ouverte à tous et en langue française. Elle est proposée par l’Université Rennes 2.

PUBLIC

Le public visé est large : toutes les personnes qui, pour des raisons professionnelles, par curiosité ou par passion, souhaitent approfondir leur connaissance de la Bretagne. Aucun diplôme n’est exigé pour s’inscrire à la formation : le seul critère de sélection est la motivation des candidats. L’admission des personnes qui ne sont pas titulaires du baccalauréat se fait, toutefois, sur accord d’une commission de validation.

FORMATION

La formation fait découvrir les pays celtiques ; elle amène à explorer l’histoire et la géographie de la Bretagne, à pénétrer l’univers de la création littéraire, artistique et musicale de Bretagne et à s’initier à la culture de langue bretonne ; enfin, elle fournit un éclairage sur la vie économique, sociale et politique de la Bretagne contemporaine.

Le tout représente 120 heures de cours, répartis les jeudis après-midi, de septembre-octobre à avril-mai.

Pour tous renseignements sur la formation ou demander un dossier d’inscription Université Rennes 2 – Bureau des langues  Campus Villejean : +33 (0)2 99 14 16 07  sfc-bdl@univ-rennes2.fr

Il est conseillé de s’inscrire avant le 10 juillet.

Photo – La promotion Alan Stivell

An Tour Tan assure la captation vidéo des prises de parole du gouvernement

An Tour Tan assure la captation vidéo des prises de parole du gouvernement

Le Ségur de la santé, c’est eux. Les interventions télévisées d’Edouard Philippe, Bruno le Maire ou Jean-Yves Le Drian sur la crise Covid-19, c’est eux également. Spécialisée dans la captation et la diffusion d’événements en streaming, l’agence audiovisuelle quimpéroise An Tour Tan est intervenue plusieurs fois et interviendra encore sous les ors de la République pour filmer et diffuser les prises de parole des ministres.

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Article publié sur bretagne-economique.com

L’étudiant Sven Bouguin en renfort à l’Ehpad de Loguivy-Plougras

L’étudiant Sven Bouguin en renfort à l’Ehpad de Loguivy-Plougras

Le Perrosien Sven Bouguin, étudiant en histoire, n’a pas hésité à s’engager dans les Ehpads. Trois jours par semaine, il travaille à celui de Loguivy-Plougras. Il s’occupe notamment des visio-contacts des résidents avec leur famille.
Originaire de Perros-Guirec, Sven Bouguin travaille depuis la mi-mars à l’Ehpad Saint-Émilion de Loguivy-Plougras.

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Article publié sur letelegramme.fr

L’école B5 veut former les futurs leaders de Bretagne

L’école B5 veut former les futurs leaders de Bretagne

L’acte fondateur de l’école B5 – Skol ar Sell – a été scellé hier à Rennes dans les locaux du groupe Saint-Exupéry où seront sélectionnés, d’ici à octobre 2020, les vingt étudiants de la première promotion.
Partant du constat que la Bretagne manque foncièrement de leaders et que nombre de fleurons de l’économie bretonne seront  rapidement amenés à remplacer leurs dirigeants, des représentants de la société civile et des chefs d’entreprise ont maturé ce projet ambitieux et novateur.
« Il nous faut des dirigeants avec une vision pour la Bretagne », a notamment déclaré le capitaine d’industrie, Alain Glon qui considère qu’après 65 ans il faut savoir restituer.

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Article de Stéphane Le Tyrant publié sur actu.fr

3 questions à … Sylvie Mousset, correspondante de la Fondation SNCF en Bretagne

3 questions à … Sylvie Mousset, correspondante de la Fondation SNCF en Bretagne

Femmes de Bretagne publie sur son site un entretien avec Sylvie Mousset, correspondante de la Fondation SNCF en Bretagne.

1 . Comment avez-vous connu l’association ?

En tant que correspondante de la fondation SNCF en Bretagne, j’anime les actions de la fondation sur le territoire. La fondation soutient des projets associatifs, des actions qui permettent de développer les territoires et leurs réseaux humains, rassembleurs et entreprenants. J’ai rencontré Marie Eloy en 2013 et j’ai vu le réseau « Femmes de Bretagne » prendre de l’ampleur, nourrie d’une énergie collective qui palpite aussi dans mon entreprise. Notre comité territorial a décidé de financer les actions du réseau pour la période 2019 à 2021. Des fonds sont versés pour développer les coordinations dans les zones rurales, notamment dans les zones rurales comme en Centre-Bretagne. L’idée est de favoriser l’entrepreneuriat comme levier de développement du territoire. La SNCF, via son réseau interne SNCF au Féminin, a à cœur de mettre en avant des actions et du partage pour une mixité la plus épanouie possible. « Femmes de Bretagne » est pleinement dans cette dynamique. Avec d’autres collègues, j’ai senti que je pouvais être utile en tant que bretonne solidaire pour renforcer cet esprit de coopération et d’entraide.

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Article publié sur femmesdebretagne.fr

Deux Bretons inventent un meuble potager pour cultiver chez soi, même sans jardin…

Deux Bretons inventent un meuble potager pour cultiver chez soi, même sans jardin…

Deux jeunes Bretons proposent aux personnes qui n’ont pas de jardin de s’équiper d’un meuble potager livré avec son terreau et ses plants, pour cultiver soi-même légumes et plantes aromatiques.

La solution proposée par Urban Cuisine s’adresse d’abord aux citadins privés de jardin, qui ont quand même envie de jardiner. Joséphine Thebault et Antoine Lorcy, cofondateurs de cette toute jeune entreprise, ont imaginé un meuble potager, à installer dans un salon ou une cuisine, qui permet de faire pousser une vingtaine de plants.

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Article de Laurent Le Goff publié sur ouest-france.fr