Depuis janvier 2017, les travaux engagés sur le port de Brest doivent consolider l’activité commerciale du site. Ce chantier de 220 millions d’euros accueillera sur un polder de 40 hectares de nouvelles activités industrielles de pointe, notamment celles liées aux énergies marines renouvelables.

Le terminal industrialo-portuaire de Brest, connu pour ses activités commerciales et de réparation navale, a encore un potentiel urbain et maritime à exploiter. Et le développement économique de la métropole, dont les activités maritimes constituent le premier gisement d’emploi, passe par son port.

L’intégralité de l’article

Article de Pascale Paoli-Lebailly publié sur latribune.fr