Spéculation foncière, nuisances liées au transport, risques de pollution… Interrogé par la députée socialiste Claudia Rouaux sur les « dérives » de la méthanisation, le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a estimé qu’il fallait « établir des garde-fous » vis-à-vis de cette technique alors que, sur le terrain, la résistance s’organise.

Promue pour valoriser les déchets organiques et lutter contre le réchauffement climatique, la méthanisation suscite aujourd’hui des interrogations, notamment en Bretagne, première région dans de nombreux secteurs de l’élevage, qui recensait 130 unités de méthanisation au 1er janvier 2020, avec plusieurs dizaines d’autres en projet, selon l’association Aile.

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Article d’Hélène Duvigneau publié sur latribune.fr