Emoji du drapeau breton : une seconde candidature bretonne auprès du consortium Unicode

Emoji du drapeau breton : une seconde candidature bretonne auprès du consortium Unicode

En 2017, le Consortium Unicode, organisation en charge de la standardisation des emojis, a rejeté le dossier de candidature du drapeau breton. Après avoir lancé une nouvelle mobilisation, qui a reçu plus de 20 000 soutiens au cours de l’été, l’association www.bzh en partenariat avec la Région Bretagne renouvelle sa candidature.

Chaque jour, 60 millions de messages contenant un emoji (ou émoticônes) sont envoyés via Facebook,  5 milliards via Messenger,  15 millions via Twitter… Les entreprises se mettent elles aussi et de plus en plus à utiliser des emojis dans leur communication en ayant noté une augmentation du taux d’engagement lié. Sur Facebook, utiliser des emojis génère ainsi 57% de likes en plus et 33% de partages en plus.

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Article de Véronique Maignant publié sur bretagne-economique.com

La population bretonne est dynamique

La population bretonne est dynamique

La Bretagne a une population globalement à peine moindre que celle de la Norvège ou de  l’Irlande et plus importante que celle de la Croatie.

Nous sommes au dernier recensement très précisément 4 616 602 habitants en Bretagne. Le département le moins peuplé est celui des Côtes d’Armor avec 599 477 Costarmoricains (13%). Viennent ensuite le Morbihan avec 741 905 Morbihannais (16%). Puis le Penn ar Bed avec 904 999 finistériens (19,6%). Les zones les plus peuplées sont à l’est de la Bretagne : l’Ille-et-Vilaine avec 1 026 962 habitants (22,2%) et la Loire-Atlantique avec 1 343 259 habitants (29,2%)

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Article de Rémy Penneg publié sur nhu.bzh

Logistique : avec le groupement Chargeurs Pointe de Bretagne, les industriels bretons tiennent la route

Logistique : avec le groupement Chargeurs Pointe de Bretagne, les industriels bretons tiennent la route

Pensé pour bénéficier à tous les maillons de la Supply chain, le groupement interentreprises breton compte 16 industriels et espère en accueillir bien d’autres. Pour l’heure concentré sur l’acheminement des produits ambiants, le GIE Chargeurs Pointe de Bretagne déclinera prochainement cette organisation pour le frais.

Mille camions d’évités sur les routes de France ! C’est ce qu’a permis le Groupement interentreprises (GIE) Chargeurs Pointe de Bretagne en 2016, rien que pour le seul distributeur Carrefour.

Tout est parti d’une idée des industriels de l’agroalimentaire bretons, Hénaff, Altho et Locmaria, en octobre 2011. Il s’agissait de contrer la perte de compétitivité des produits fabriqués en Bretagne, de réduire leurs émissions de CO2 et de s’adapter aux demandes des distributeurs qui ne voulaient plus avoir de stock.

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Article de Julie Menez sur le site bretagne-economique.com

Langouët, village écologique et durable

Langouët, village écologique et durable

Depuis le début des années 2000, ce bourg de 602 habitants multiplie les projets autour des énergies renouvelables et du développement durable. Au point d’en faire un modèle, encensé dans le monde entier.

Au moment de débuter notre entretien, Daniel Cueff, maire de Langouët depuis 1999, termine une visite originale. « Je suis sous le toit d’une maison test, un bâtiment triple zéro : pas d’émission, pas d’énergie, pas de déchet. La toiture comporte un jardin en permaculture et, si le coût du projet rentre dans les clous du logement social, nous en construirons huit », explique-t-il. Jusqu’à présent, le seul autre édifice du genre a été conçu en Allemagne. Et l’anecdote n’a rien d’inédit : le petit village fourmille de projets innovants comme celui-ci.

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Article publié sur latribune.fr

Denez Prigent, le chant de la Bretagne

Denez Prigent, le chant de la Bretagne

Dans le manoir du Nord de la Bretagne où Denez Prigent habite, un coffre contient les gwerz, les complaintes qu’il a écrites par dizaines et dont les couplets se comptent par milliers. Il compose les mélodies à part. Il vient un moment où les textes les rencontrent et les aspirent.

Ce n’est pas un phare qu’habite Denez Prigent mais un manoir au Nord de la Bretagne, à une douzaine de kilomètres en retrait de la mer. Il l’avait choisi avec Stéphanie, sa femme. Les murs en sont épais et alentour, il restait des arbres qui témoignaient du paysage d’autrefois. Stéphanie n’est plus. Les arbres tombent plus souvent qu’à leur tour. France Bleu Armorique lui a offert un poste de radio performant et France Inter traverse maintenant les murs.

Podcast de l’interview de Denez Prigent par Jean Lebrun dans l’émission « La marche de l’Histoire » sur France Inter

Âmes de Bretagne, la websérie 100 % bretonne

Âmes de Bretagne, la websérie 100 % bretonne

Âmes de Bretagne, c’est une websérie lancée en 2016 par Anne-Laure et Kévin Hamon, deux frère et sœur originaires de Carhaix. Deux Bretons qui ont vu du pays, de Paris à Boston en passant bien sûr par leur propre région. Le projet s’inspire de « Human » et « 7 milliards d’Autres », les films humanistes du réalisateur Yann-Arthus Bertrand ; mais cette fois, ce sont des Bretons (ou amoureux de la Bretagne) qui passent devant la caméra !

« On s’est rendu compte que les Bretons étaient très fiers, mais qu’ils ne savaient plus vraiment pourquoi. »

C’est ce constat, fait par Anne-Laure, qui a donné l’élan à ce projet. Qu’est-ce que la Bretagne pour vous ? Que signifie être Breton ? Que connaissez-vous de l’histoire de la Bretagne ? Autant de questions auxquelles il n’est pas si simple de répondre, même en étant breton et fier de l’être… Âmes de Bretagne a donc pour but de faire redécouvrir aux Bretons leur propre culture.

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Article publié sur le site portdattache.bzh

Bretagne : une écloserie d’huîtres diversifiées innovante

Bretagne : une écloserie d’huîtres diversifiées innovante

Depuis 2015, une écloserie d’huîtres, dans le Finistère, commercialise des pétoncles noirs et des huîtres plates d’une manière novatrice
Au sud de la rade de Brest, à la ferme marine de l’île d’Arun à Hanvec, Mathieu Hussenot produit des naissains d’huîtres plates et de pétoncles noirs, deux espèces rustiques de la conchyliculture bretonne. Avec son associé,  Mikael Coquil, les deux jeunes aquaculteurs ont fait le pari de réimplanter ces deux espèces patrimoniales, deux coquillages victimes des maladies et aussi des modes de consommation. Authenticité, traçabilité et qualité sont les mots d’ordre de ces aquaculteurs finistériens très attachés à la biodiversité. Ils n’utilisent en effet, aucun produit phytosanitaire ou d’antibiotique.

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Article paru sur le site mer-ocean.com

Bretagne : ouverture maritime naturelle ou frontière terrestre imposée ?

Bretagne : ouverture maritime naturelle ou frontière terrestre imposée ?

Bretagne ou 2 700 kilomètres d’ouverture maritime et dix fois moins de frontière terrestre : vers où croyez-vous qu’on nous force à regarder ?

Il ne doit sans doute exister aucun autre pays au monde dans une telle situation.
La Bretagne est un peu comme un rectangle. Trois de ses côtés, dont les deux plus longs, sont intégralement maritimes. Et à l’est un des petits côtés est terrestre. D’une part, quelque 2 700 kilomètres de déroulé de plages, d’îles, de criques et de ports maritimes. Et d’autre part, entre la Baie du Mont Saint Michel au nord et la frontière vendéenne au sud de la Loire Atlantique, une façade terrestre dix fois moins longue à l’est.
Notre géographie naturelle est ainsi faite depuis la nuit des temps.

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Article de Rémy Penneg sur nhu.bzh

Fret irlandais. La contre-offensive des Armateurs de France et de la Région

Fret irlandais. La contre-offensive des Armateurs de France et de la Région

Ni le président des Armateurs de France, qui est aussi celui de Brittany Ferries, ni la région Bretagne n’ont l’intention de laisser l’Europe considérer comme quantité négligeable les ports de la Manche pour la desserte du fret irlandais d’après Brexit.
« C’est une faute ! Il faut corriger le tir très rapidement ! ». Injoignable lundi, Jean-Marc Roué, président des Armateurs de France et patron de Brittany Ferries, réagit vivement à la proposition de la Commission européenne d’exclure les ports de la Manche du dispositif de financement du Réseau transeuropéen de transport. Dispositif auquel ils auraient pu prétendre au titre de la future desserte de la République irlandaise.

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Article publié sur letelegramme.fr