12 Août 2024 | Actualités
Le 15 de juïllet 1900, vla ene fome a se chomer devant le cônè du fonografe a Léon Azoulay e la siene-la qe de debagouler ene defilonjée de sentences e de mots : « T’as mal à l’oraille, ta ? J’ai tombé ma. Je l’ai lavé avé de l’iao. » Les sentences-la gravées den la cire sont la pus vaille racontée en parlement berton de Haote-Bertègn. L’intégralité de l’article en gallo
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Le 15 juillet 1900, une femme se place devant le cornet du phonographe de Léon Azoulay et récite une liste de phrases et de vocabulaire : « T’as mal à l’oraille, ta ? J’ai tombé ma. Je l’ai lavé avé de l’iao. » Ces paroles gravées dans la cire sont le plus ancien témoignage oral de la langue bretonne de Haute-Bretagne. L’intégralité de l’article en français
Article de Tudi Crequer publié par BCD Sevenadurioù (Bretagne Culture Diversité)
24 Jan 2024 | Actualités
La Ville de Saint-Brieuc innove et délivre désormais un livret de famille en version trilingue, en Français/Breton/Gallo. C’est une première ! Positionnée au carrefour des langues de Bretagne, Saint-Brieuc possède une tradition trilingue bien ancrée. Le Breton et le Gallo y conservent un attachement fort. Chaque langue est porteuse d’une vision du monde, et la ville est attachée à faire vivre cette diversité. L’intégralité de l’article
Article publié par la ville de Saint-Brieuc
27 Mai 2021 | Actualités
Le Conseil Constitutionnel a choisi la Journée mondiale de la diversité culturelle de l’ONU pour censurer deux articles essentiels de la loi Molac, laquelle donnait enfin un cadre légal à la protection et au développement de nos langues régionales.
Le prénom du petit Fañch a donc été déclaré anticonstitutionnel ! La langue française ne connaît pas le « ñ »! « Les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France », proclame l’article 75-1 de notre constitution, mais pas leur orthographe… Cherchez l’erreur !
La suite de l’article
Article publié par Produit en Bretagne sur le site de l’Abp
22 Déc 2020 | Actualités
La loi Paul Molac vient d’être votée par le Sénat. C’est une étape sur le chemin de la généralisation de la proposition d’enseignement de nos langues, et de l’immersion. Il faut encore que ce travail trouve sa concrétisation par une adoption définitive à l’Assemblée nationale. Nos députés devront être fortement mobilisés et répondre présent, pour passer outre le refus gouvernemental.
Il va de soi que ce travail législatif imposant ne dispensera pas nos responsables politiques de faire preuve d’une volonté sans faille pour développer l’enseignement de nos langues et sortir du marasme actuel.
L’intégralité de l’article
Article d’Yvon Ollivier publié sur abp.bzh
4 Déc 2020 | À la une
Voici la tribune publiée par Yvon Ollivier et Yannig Baron dans le Télégramme du 2 décembre 2020.