La région veut bien accueillir les paquebots de croisière, mais pas à n’importe quel prix

La région veut bien accueillir les paquebots de croisière, mais pas à n’importe quel prix

Les navires de croisière se font plus nombreux à Saint-Malo, Brest et Lorient. La Région veut garder la maîtrise…

La croisière a le vent en poupe. La Bretagne et ses 2.500 kilomètres de côte le savent bien et voient chaque année le nombre d’escales dans leurs ports progresser. A Saint-Malo, 47 navires se sont arrêtés cette année, un record historique. S’ils sont moins sollicités, Brest et Lorient voient également le nombre d’escales grimper ces dernières années. « C’est un marché qui se développe. La France est devenue la quatrième destination européenne », précise Anne Gallo, vice-présidente de la région chargée du tourisme, qui vient de boucler une enquête sur le sujet.

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Article de Camille Allain publié sur 20minutes.fr

Les agriculteurs galèrent à vendre leurs fermes

Les agriculteurs galèrent à vendre leurs fermes

De plus en plus d’exploitations ne trouvent pas de repreneurs… Le problème se pose déjà. Alors que les consommateurs prônent un retour au manger local, les agriculteurs sont de moins en moins nombreux à exercer. Et le pire pourrait être à venir, car de très nombreux départs à la retraite sont à prévoir avec le vieillissement de la génération du baby-boom. L’une des principales inquiétudes porte sur la transmission des exploitations. Dans un contexte déjà délicat pour l’agriculture, comment vendre sa ferme ? En Bretagne, première terre agricole française, le sujet inquiète.

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Article de Camille Allain publié sur 20minutes.fr

Inscrivez-vous à la soirée de Bretagne Prospective : « Bretagne », « Breizh » : leviers de développement territorial ?

A l’occasion de son assemblée générale le vendredi 30 novembre à 18h au Conseil régional des Notaires – 14 rue de Paris – à Rennes, Bretagne Prospective vous propose de venir débattre autour de la thématique suivante : « Bretagne », « Breizh » : leviers de développement territorial ?

A partir de sources croisées et de différents indicateurs, Loïc Roulaud a travaillé avec Bretagne Prospective afin de comprendre à partir d’une base de données riche de 1208 entreprises, collectivités ou associations les motivations qui les ont poussées à choisir dans leurs intitulés les mots « Bretagne » ou « Breizh ». Il donnera les conclusions de son étude.

Trois grands témoins viendront apporter leur expertise :

–         Jean-Michel Le Boulanger, premier vice-président du Conseil régional en charge de la culture et de la démocratie régionale

–         Olivier Clanchin, président du groupe Triballat Noyal

–         Agnès Lanoë, présidente du Conseil régional des notaires

Entrée gratuite sur inscription à : contact@bretagne-prospective.bzh

Morlaix : Grain de Sail lance la construction de son premier voilier-Cargo.

Morlaix : Grain de Sail lance la construction de son premier voilier-Cargo.

À Morlaix, dans le Finistère, Grain de Sail produit du chocolat et café haut de gamme, avec depuis sa création, en 2012, l’objectif d’importer ses matières premières à la voile. Un projet ambitieux, et pour l’atteindre, Jacques Barreau, directeur général de la PME expliquait il y a quelques mois :  » tout ne pourrait pas être mené de front, le projet nécessiterait trois étapes ».

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Article d’Eric Nedjar publié sur France Info.

Monnaie locale : le Buzuk fête ses deux ans et voit l’avenir en numérique !

Monnaie locale : le Buzuk fête ses deux ans et voit l’avenir en numérique !

Bon anniversaire le Buzuk ! Lancé en octobre 2016, la monnaie locale complémentaire citoyenne du Pays de Morlaix fête cette année ses deux ans. L’occasion de faire un point, et de parler des projets à venir, notamment du lancement de la monnaie numérique !

734 adhérents, 140 prestataires, 125 000 euros échangés…voilà quelques chiffres qui symbolisent la place qu’a su prendre le Buzuk, monnaie locale complémentaire et citoyenne, sur le territoire du Pays de Morlaix. En deux ans, le nombre de commerçants acceptant cette monnaie complémentaire à l’euro a été doublé. Le fruit d’un travail incessant de sensibilisation et de mobilisation, réalisé par la dizaine de bénévoles de l’association, appuyés de volontaires en service civique. Tous ont à cœur d’expliquer, notamment en étant présent sur le marché de Morlaix le samedi et lors de « café Buzuk » mensuels au Ty Coz, les objectifs et le fonctionnement de la monnaie : en adhérant, on devient utilisateur et on peut donc aller convertir des euros en Buzuks (1 euro = 1 buzuk) dans les différents comptoirs d’échanges disséminés sur le territoire. Buzuks en poche, on peut alors les dépenser chez les commerçants (les « prestataires ») qui acceptent les paiements en Buzuk. En adoptant cette monnaie locale complémentaire, on contribue ainsi à soutenir le commerce de proximité, la production locale, les circuits courts, on fait en sorte que l’argent reste dans l’économie locale et n’aille pas alimenter l’évasion fiscale ni la spéculation boursière.

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Article de Marie-Emmanuelle Grignon publié sur Eco-Bretons