Économie vivante : la culture du blé noir en Bretagne

Économie vivante : la culture du blé noir en Bretagne

Un séjour en Bretagne sans passer par la case « dégustation galette de blé noir complète + crêpe « caramel beurre salé » + bolée de cidre », n’est pas un véritable séjour en Bretagne. Là où l’on s’étonne un peu, c’est que les galettes bretonnes ne sont pas 100% locales : 70 % du sarrasin utilisé dans les crêperies de la péninsule est importé de Russie ou même de Chine ! Réinstaurer la culture du blé noir en Bretagne, voilà la mission que s’est donnée ViVaTerr, pour revitaliser l’économie bretonne.
La Bretagne consomme 3,5 fois plus de blé noir que la moyenne française : 11.000 tonnes par an. Pour autant, elle n’en produit que 3.000 tonnes : ce scoop est une nouvelle illustration des conséquences absurdes de l’économie financière. De 370.000 hectares de sarrasin dans les années 1900, la production bretonne est tombée à quelques centaines d’hectares en 1980, au profit de cultures à fort rendement comme le blé, l’orge et le maïs.

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Article publié sur ecologiehumaine.eu

Kervignac. Développer le breton dans la vie de tous les jours

Kervignac. Développer le breton dans la vie de tous les jours

Une charte a été signée entre l’école de musique Sonam’et l’Office public de la langue bretonne marquant l’engagement de l’association en faveur de la labellisation Ya d’ar Brezhoneg.

L’école de musique Sonam’est issue de l’école de musique traditionnelle EMTK, qui était caractérisée par l’enseignement d’instruments de musique et de chant liés à la tradition bretonne.

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Article publié sur ouest-france.fr

L’association Savoir-faire des îles du Ponant est née en Bretagne

L’association Savoir-faire des îles du Ponant est née en Bretagne

Le 20 septembre 2019 constituera une date importante pour les îles du Ponant avec la création de la marque Savoir-faire des îles du Ponant. Issu de la réflexion entre le travail universitaire de Louis Brigand, géographe, chercheur auprès de l’Université de Bretagne Occidentale et les membres de l’AIP (Association des îles du Ponant), et en collaboration avec une quarantaine de professionnels des îles, des élus et l’appui de la marque Produit en Bretagne, le projet connaît aujourd’hui son véritable envol.

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Article publié sur ouest-france.fr

« Densifier Rennes se traduit par une délocalisation de l’étalement urbain »

« Densifier Rennes se traduit par une délocalisation de l’étalement urbain »

Ana Sohier est élue de l’UDB à Rennes, déléguée au patrimoine et à la politique linguistique. Récemment, elle publiait une tribune dans Ouest-France au sujet de l’urbanisme et de ses conséquences sociales.

Le Peuple breton : Il y a peu, vous publiiez une tribune sur Ouest-France à propos de l’urbanisation et du patrimoine à Rennes. Pourquoi ces thèmes ?

Ana Sohier : D’abord parce que je suis déléguée au patrimoine et qu’il est nécessaire d’alerter quand on voit que l’urbanisation commence à empiéter sur l’équilibre entre le bâti ancien et le contemporain. Nous ne sommes pas obligés de subir la banalisation architecturale et de la standardisation du logement propre à nos sociétés contemporaines. Ce n’est pas une fatalité !

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Interview d’Ana Sohier publiée sur lepeuplebreton.bzh