Olmix met l’algue à tous les rayons

« Les solutions viendront de la mer, à condition qu’on la respecte ». Les spécialistes en sont convaincus : à l’heure où l’humanité s’interroge sur son avenir, ce sont les océans qui apporteront nombre de réponses aux besoins. Hervé Balusson prêche cette conviction depuis plus de trente ans, lui qui dirige l’entreprise bretonne la plus investie dans les algues. Avec deux chiffres qui claquent : 900 employés de 45 nationalités différentes dans le giron de cette entreprise morbihannaise qui a conservé son siège et sa première usine à Bréhan, non loin de Pontivy dans le Centre-Bretagne. En gros, un tiers de ses effectifs sont en France, un tiers en Asie où les algues on connaît et un tiers dans le reste du monde.

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Femmes de Bretagne, une union qui gagne

En Bretagne, les femmes sont souvent en avance sur leur temps. Le matriarcat a été ici une réalité, surtout à la pointe armoricaine, et bien des avancées sur le plan politique, électoral ou social ont témoigné de la capacité des Bretonnes à passer à l’action et à prendre des initiatives sans attendre que les hommes le fassent pour elles. Il ne faut pas chercher plus loin ces bonnes habitudes qui classent les femmes bretonnes parmi les plus actives mais aussi les plus coopératives puisque la Bretagne a été et reste encore un terreau du mutualisme et des coopérations en tous genres.

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Le livre blanc de l’après-tourisme. Bretons de passage

Le livre blanc de l’après-tourisme. Bretons de passage

Professeur de géographie à l’Université de Bretagne, président du « think tank » Bretagne Prospective et auteur de nombreux ouvrages sur la Bretagne, Jean Ollivro vient de publier chez Diawel éditions un ouvrage intitulé  » Le livre blanc de l’après-tourisme. Bretons de passage ».

« C’est un touriste ». Voilà une expression populaire. Au-delà d’un constat, elle peut désigner quelqu’un de peu sérieux, un étudiant en retard, un individu n’ayant rien préparé (il est venu en touriste), quelqu’un qui n’a pas été professionnel ou n’a pas réalisé les choses correctement. Pourquoi utilise-t-on ce terme ? Le choisit-on ? A une époque où ce secteur ne cesse de progresser et représente dans certaines régions jusqu’à 30 % du PIB, l’expression pose problème.

Le « tourisme » est une activité dont on a de plus en plus besoin et qui reste mal dénommée, mal agencée mal fichue. Comment faire en sorte que cette activité ne soit plus prédatrice ? Qu’elle soit a minima digérée ? Sinon fertile ?

Voilà l’interrogation essentielle de cette étude prospective qui s’interroge sur une « phase 2 » du tourisme, voire sur l’après-tourisme, avec une idée pressentie par R. Knafou dès les années 1991, mieux exprimée par P. Bourdeau dans les Alpes dès 2009. « Après-tourisme », « post-tourisme », « tourisme 3 », « new tourism », « neo tourism ». Oui, c’est autre chose avec ce mot que l’on garde sans se demander si c’est le bon. Comment faire en sorte que des gens qui, sur le fond,  ne font que passer d’un territoire à un autre, soient perçus et acceptés tels ce qu’ils sont : des « habitants » temporaires ?

10 € (+ 3 € de port) – A commander auprès de Bretagne Prospective – contact@bretagne-prospective.bzh