Glaz, le projet sur l’environnement continental et littoral en Bretagne

Glaz, le projet sur l’environnement continental et littoral en Bretagne

Un consortium de recherche associant 20 laboratoires de recherche de l’INRAE-Bretagne, de l’IUEM, de la Maison des Sciences de l’Homme en Bretagne (MSHB) et de l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Rennes (OSUR) propose un méta-projet Contrat de plan Etat-Région (CPER), coordonné sur l’ensemble de la région Bretagne (en coordination avec la région Pays de Loire puisque l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Nantes Atlantique (OSUNA) y est associé), pour construire une infrastructure de recherche de niveau mondial capable de détecter, d’anticiper et d’accompagner les transitions socio-environnementales que les écosystèmes terrestres et côtiers vont connaître dans les décennies à venir. Ce projet est fondé sur la mise en réseau d’observatoires de recherche existants et déjà labellisés.

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Article publié sur le site de l’Institut Universitaire Européen de la Mer

Autonomie des régions : “La France doit maintenant faire une révolution mentale”

Autonomie des régions : “La France doit maintenant faire une révolution mentale”

Pour beaucoup, la crise du coronavirus a mis au jour les défaillances de l’État. Pour le politologue Romain Pasquier, un État trop centralisé et trop ankylosé. Il doit désormais faire plus confiance aux collectivités territoriales. Entretien.

Nous fêtons cette semaine la Bretagne. Beaucoup rêvent d’une région moins corsetée. Justement avec cette crise sanitaire, une région plus autonome aurait-elle été plus efficace que l’État ?

En faisant les bons choix stratégiques, une région autonome aurait pu faire mieux. En Italie, par exemple, une région autonome comme la Vénétie s’est montrée très rapide et performante dans l’utilisation des tests et la distribution des masques au personnel soignant. Durant cette crise en France, on a vu un État central ankylosé.

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Un article de Robin Durand publié sur france3 Bretagne

Energie verte : Karrgreen ambitionne de compter 150 stations-service d’ici 3 ans

Energie verte : Karrgreen ambitionne de compter 150 stations-service d’ici 3 ans

Cinq entreprises bretonnes se sont associées pour développer un réseau de stations de recharge électrique et de biométhane. Ce modèle hybride entre réseau de franchise et filiales place l’ancrage dans ses territoires au coeur de son modèle économique.
Dans le Morbihan, cinq entreprises se sont associées sous la marque Karrgreen afin de développer 150 stations de recharge électrique et de biométhane. C’est en 2015, à Locminé, commune de 4.000 habitants prospérant grâce à l’industrie agroalimentaire que l’aventure a commencée sous l’impulsion de Marc Le Mercier.

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Article de Camille Prigent publié sur lesechos.fr

Biotech Santé Bretagne, un nouveau centre de référence pour l’innovation en Santé et Biotechnologies

Après la fusion d’ID2Santé dans Biotech Santé Bretagne, c’est l’intégration de CBB Capbiotek qui vient d’être approuvée par les Assemblées Générales. Les 2 CRITT historiques, labellisés « Cellule de Diffusion Technologique » par l’Etat, unissent leurs forces et deviennent une association unique et experte qui s’appuie sur les compétences historiques des deux structures construites depuis des dizaines d’années. En effet, ces deux entités régionales accompagnaient les innovations technologiques dans le domaine de la santé et des biotechnologies depuis plus de 30 ans en Bretagne.

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Article de Anne-Claude Lefebvre paru sur biotechinfo.fr

Thomas Le Guilloux, 16 ans, milite pour sauver l’avenir des générations futures “quoi qu’il en coûte”

Thomas Le Guilloux, 16 ans, milite pour sauver l’avenir des générations futures “quoi qu’il en coûte”

Depuis le printemps 2019,  le jeune Breton s’investit à plein temps dans le mouvement mondial « Youth For Climate ». Le confinement a stoppé net les marches pour le climat mais pas son rêve d’un changement politique majeur. Maintenant. Tout de suite. Parce que sa génération n’a plus le temps.

Il a quitté le lycée parce qu’il ne s’y retrouvait plus. Ni les enseignements, ni la charge de travail ne le rendaient heureux. C’était plutôt l’inverse. Elève de seconde au lycée Saint-Charles à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), Thomas Le Guilloux a jeté l’éponge en novembre 2018. Avec l’accord de ses parents. Depuis, il apprend différemment. En autodidacte.

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Article de Catherine Bazille publié sur france3bretagne