Quand on se promène sur une plage bretonne à marée basse, il n’est pas rare d’apercevoir des petits tortillons de sable. Ces spirales intrigantes sont la signature discrète d’un habitant souterrain : l’Arénicola marina, plus connu sous le nom de ver arénicole ou ver marin breton. Pendant des générations, les pêcheurs de la côte l’ont ramassé pour l’utiliser comme appât. Mais derrière son apparence modeste se cache un organisme d’un intérêt scientifique majeur. Lire l’intégralité de l’article

Article de Rémy Penneg publié par NHU