La pollution des océans par les déchets plastiques prend de plus en plus d’ampleur. Le monde de la pêche, qui perd fréquemment ses engins (filets, casiers, lignes, etc.) en mer, est très concerné par ce phénomène. C’est pourquoi le projet IndiGO vient de voir le jour. Ce projet européen qui relie scientifiques et industriels, de la Bretagne à l’Angleterre en passant par la Normandie, mène, entre autres, un très important travail d’étude et de conception de futurs filets biodégradables. Piloté par l’Université de Bretagne sud (UBS), à Lorient (Morbihan), il dispose d’un budget global de 4,2 millions d’euros (M€), subventionné par des fonds européens à hauteur de 2,9 M€.
Article de Nora Moreau publié sur leparisien.fr