Créée en décembre 2000 à Lyon et installée à Quéven près de Lorient en 2002, par Clémentine Gallet, son mari Alexandre Hamlyn, et rejoint par l’ingénieur Yvan Hardy, Coriolis Composite a su s’imposer à l’international sur le marché des robots, des logiciels dédiés à la fabrication de structures en matériaux composites. Une réussite industrielle où l’innovation technique ne serait rien sans la ténacité de celle, que le journal « Le Monde » a surnommé « La charmeuse de robots ». L’intégralité de l’article

Article de Djamel Bentaleb publié par 7Jours