Au Pays basque notamment, les établissements qui pratiquent un enseignement dit « immersif » anticipent une rentrée des classes « sous tension ».

La préparation de la rentrée donne des sueurs froides aux « ikastola », ces écoles en langue basque qui se battent pour que les emplois alloués par l’Etat soient à la hauteur des demandes d’inscriptions. « Aurons-nous assez d’enseignants ? », s’inquiète-t-on au sein de l’association Seaska qui les fédère. « Il nous faut trente postes pour la rentrée, quand l’éducation nationale ne nous en accorde que dix », chiffrait en juin Paxkal Indo, son président. Près de dix autres postes ont, depuis, été débloqués pour ce réseau.

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Article de Mattea Battaglia et Michel Garicoïx publié sur lemonde.fr