La France veut-elle vraiment tuer ses langues régionales ?

La France veut-elle vraiment tuer ses langues régionales ?
On aimerait en rire si ce n’était à en pleurer. Le 21 mai correspondait, selon l’ONU, à la Journée mondiale de la diversité culturelle. Et c’est ce jour qu’a choisi le Conseil constitutionnel pour signer ce qui ressemble à l’arrêt de mort des langues dites régionales (1) en censurant l’essentiel de la loi Molac dans des conditions on ne peut plus troubles. Vous pensez que j’exagère ? Alors lisez ceci.

La suite de la chronique de Michel Feltin-Palas en cliquant sur le lien ci-dessous

« Sur le bout des langues », la lettre d’information gratuite de l’Express consacrée au français et aux langues de France
https://bit.ly/31Yje02 

Pour nos langues !

Le Conseil Constitutionnel a choisi la Journée mondiale de la diversité culturelle de l’ONU pour censurer deux articles essentiels de la loi Molac, laquelle donnait enfin un cadre légal à la protection et au développement de nos langues régionales.

Le prénom du petit Fañch a donc été déclaré anticonstitutionnel ! La langue française ne connaît pas le « ñ »! « Les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France », proclame l’article 75-1 de notre constitution, mais pas leur orthographe… Cherchez l’erreur !

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Article publié par Produit en Bretagne sur le site de l’Abp

Le 1er colloque européen sur la Nouvelle Ruralité

En ces temps chahutés où les consciences s’éveillent à de nouvelles exigences, de nouveaux défis et à la nécessité de nouveaux modèles plus respectueux des hommes et de la planète, la ruralité est, nous en sommes convaincus, un formidable territoire de reconquête.

Le colloque « Vers une nouvelle ruralité ? », premier colloque européen consacré à la nouvelle ruralité et au développement des territoires se tiendra les 20 et 21 mai en live, ouvert à toutes et à tous, en partenariat avec le Crédit Agricole d’Ille-et-Vilaine, le Cerfrance Brocéliande, la Région Bretagne, TVR et la Maison de L’Europe.

Le programme

Ouverture des inscriptions pour le DEC

L’association Kendeskiñ a ses activités propres, mais une de ses missions est la promotion du Diplôme d’Etudes Celtiques (DEC) proposé par l’Université de Rennes 2.

Il s’agit d’une formation en français, de 120 heures, sur une année, avec des cours le jeudi de septembre à avril.

Les inscriptions sont dès à présent ouvertes pour la rentrée de septembre.

Il est possible d’obtenir un dossier au Bureau des Langues que l’on peut joindre au 02 99 14 16 07 ou par mail : sfca-bdl@univ-rennes2.fr

Transport durable : ouverture des réservations pour rejoindre Belle-Ile-en-mer sur une navette à voile

Le bateau est à quai, l’équipage aux aguets : tout est bientôt prêt pour inaugurer le nouveau mode de traversée pour passagers, entre Quiberon et Belle-Ile-en-Mer. Porté depuis deux ans et demi, le projet Iliens touche à son but : proposer une navette de transport à voile, un catamaran poussé par le vent. La première liaison est programmée à la mi-mai.

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Article publié sur bretagne-economique.com

 

La nouvelle éco en Bretagne : « Tout commence en Finistère » lance sa nouvelle collection

Quel est le point commun entre un sac en tissu brodé de bigoudènes et un baume aux algues ouessantines ? Ces deux produits forment la nouvelle collection « Tout commence en Finistère ». La marque territoriale, lancée il y a dix ans par le Conseil départemental du Finistère, a pour objectif de promouvoir des entreprises finistériennes éthiques, éco-responsables, qui privilégient les circuits courts. Ce sont la marque BreizhMod, qui produit en France et en Bretagne des textiles vendus dans les centres Leclerc, et l’entreprise de cosmétiques ouessantine Nividiskin qui sont mises en lumière dans cette nouvelle collection.

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Article de Ninnog Louis publié sur francebleu.fr

Penn Bazh, un nouveau média en Bretagne

Penn Bazh, un nouveau média en Bretagne

Au-delà des sempiternels et très conventionnels quotidiens livrés dans vos boîtes aux lettres, il y a encore de la place pour un autre regard sur l’information en Bretagne.
Parmi ces autres regards, il y a eu Le Journal de la Bretagne qui misait sur le papier et oubliait, malheureusement, le numérique. La sentence fut trop rapide.

Par contre, ceux qui se sont assez tôt placés également sur le numérique voient de ce côté-là une nette hausse. Mais que ne compense pas encore la perte du papier. La pandémie de la Covid19 a confirmé et amplifié cette tendance.

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Article paru sur nhu.bzh

Ar Redadeg, la course pour le breton, aura bien lieu

Les organisateurs de la Redadeg, la course pour la langue bretonne, se sont retrouvés samedi 24 avril 2021 à Vannes (Morbihan) pour un point d’étape, avant le départ du 21 mai. En cas de confinement maintenu, la course sera virtuelle.
Ar Redadeg est, depuis 2008, une course autour de la Bretagne pour le soutien et la promotion de la langue bretonne. Chaque kilomètre est vendu pour collecter des fonds qui sont destinés pour moitié à Diwan, réseau d’écoles en breton, et pour le solde à des projets de promotion du breton.

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Article publié sur actu.fr

Quimper : il développe l’application Kitenga pour rendre la transition écologique à la portée de tous

Quimper : il développe l’application Kitenga pour rendre la transition écologique à la portée de tous

À Quimper (Finistère), Alexandre Massiot va créer l’application Kitenga. Son but : inciter ses usagers à œuvrer en faveur de la transition écologique par des actions concrètes.

Alexandre Massiot, 30 ans, a choisi de s’installer à Quimper (Finistère) pour entreprendre et développer son application Kitenga.

Elle vise à rendre la transition écologique à la portée de tous. « Tout le monde connaît les enjeux et les solutions à mettre en œuvre pour protéger l’environnement. Pour autant, il reste encore des freins qui empêchent de passer à l’action. »

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Article de Matthieu Gain publié sur actu.fr

Bretagne. Seule région de France métropolitaine où l’espérance de vie ne diminue pas en 2020

Au 1er janvier 2021, la population bretonne est estimée à 3 371 200 personnes, soit une hausse de 12 600 habitants en un an. Cette croissance de la population de 0,4 %  est supérieure à celle observée au niveau national, + 0,2 %. Toutefois, d’après l’Insee à l’origine de cette dernière étude, le solde naturel se creuse encore davantage par rapport aux années précédentes. Autre constat : l’impact de la crise sanitaire apparaît moindre en Bretagne qu’au niveau national.

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Article de Véronique Maignant publié sur bretagne-economique.com