Lancement de Ty-Win, une solution qui permet aux hôteliers de proposer des offres clés en main

Lancement de Ty-Win, une solution qui permet aux hôteliers de proposer des offres clés en main

Funbreizh, agence de voyages réceptive et événementielle leader dans le Grand Ouest, a imaginé Ty-Win, une solution qui permet aux hôteliers de proposer aux voyageurs et aux entreprises des offres clés en main. Qu’il s’agisse d’organiser une rencontre avec un producteur, de réserver une traversée vers une île ou de préparer un séminaire, Funbreizh place l’hôtel au centre du voyage. L’objectif est double : permettre, d’une part, aux hôteliers de renforcer leurs liens avec leurs clients et, d’autre part, de se réapproprier leur écosystème. Une première dans le paysage touristique et MICE Français déjà adoptée par des hôteliers bretons bien déterminés !

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Article publié sur tendancehotellerie.fr

La méthanisation, un procédé qui fait de plus en plus débat en Bretagne

La méthanisation, un procédé qui fait de plus en plus débat en Bretagne

Spéculation foncière, nuisances liées au transport, risques de pollution… Interrogé par la députée socialiste Claudia Rouaux sur les « dérives » de la méthanisation, le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a estimé qu’il fallait « établir des garde-fous » vis-à-vis de cette technique alors que, sur le terrain, la résistance s’organise.

Promue pour valoriser les déchets organiques et lutter contre le réchauffement climatique, la méthanisation suscite aujourd’hui des interrogations, notamment en Bretagne, première région dans de nombreux secteurs de l’élevage, qui recensait 130 unités de méthanisation au 1er janvier 2020, avec plusieurs dizaines d’autres en projet, selon l’association Aile.

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Article d’Hélène Duvigneau publié sur latribune.fr

Le réchauffement climatique va créer des conditions « bien plus favorables » pour le vin en Bretagne

Le réchauffement climatique va créer des conditions « bien plus favorables » pour le vin en Bretagne

On les prenait pour des fous. Il y a quelques années, les passionnés réunis au sein des Vignerons de Garo étaient bien seuls à penser que l’on pouvait faire du vin sur les terres de la Bretagne administrative. Hormis la Loire-Atlantique, dont le muscadet et le gros plant ont vu leur réputation grimper, les initiatives locales étaient bien peu nombreuses. Mais l’idée des passionnés de Saint-Suliac (Ille-et-Vilaine) de replanter de la vigne a finalement fait des émules et de petits vignobles ont été créés ici et là. Peut-on envisager de voir la filière se développer ? C’est probable. A en croire, le climatologue Hervé Quenol, la Bretagne pourrait même se trouver un improbable allié : le réchauffement climatique​.

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Article publié sur 20minutes.fr

L’IDBE ou La Bretagne pour tous

L’IDBE ou La Bretagne pour tous

Ce sont les travailleurs de l’ombre. Ils collectent, photocopient, numérisent ou scannent la gigantesque matière de Bretagne. Bénévolement, ils donnent gratuitement accès à des milliers de documents des revues introuvables, des sources de première main, des livres difficiles à dénicher dans des librairies officielles. Leur ambition ? Mettre  librement à disposition toute la matière de Bretagne, en français, en gallo, en breton. Sans jugement, sans commentaire. Qu’elle soit jugée favorable ou pas. De la matière. Brute.

Dans une indifférence quasi générale, cette gigantesque aventure portée par l’IDBE  (l’Institut de Documentation Bretonne et Européenne) est sans doute un des événements bretons les plus importants de ce début du XXIe siècle. Cela fait plusieurs années  que l’aventure a commencé. Elle permet aujourd’hui d’en arriver au 10 000e document scanné. Avec déjà une matière colossale. On y déniche ici des classiques, là de réelles pépites, des revues oubliées, des textes improbables, des impasses dans la pensée ; quelques tapuscrits ou documents uniques, parfois des documents confidentiels, rarissimes ou très difficilement trouvables. Par exemple dans l’onglet « revue, journal, périodique » d’une richesse déjà phénoménale. C’est un véritable travail de titan tant la matière bretonne abonde, avec un site dans l’ensemble très bien organisé.

Les recherches sont possibles par auteur avec déjà près de 2000 patronymes et écrivains. Mais aussi par thème (agriculture, politique, art, économie, littérature, chants et danses, histoire, droit des minorités diaspora, sports, science, territoires, etc.) et donnent parfois accès à des sous-thèmes. Ainsi, l’onglet intitulé « breton » ouvre sur une arborescence « théâtre en breton », « poésie », « civilisation bretonne », « nouvelles en breton », met gratuitement à disposition pour l’apprentissage éventuelle des « méthodes », des « grammaires », etc. Une autre entrée est proposée par type de documents (actes administratifs, livres avant 1860, décret, opuscule, monographie, calendrier, guide, etc.). Et les deux derniers onglets isolent les nouveaux documents scannés ou proposent une recherche libre, parfois très utile, à partir de mots-clés. En naviguant au hasard, on tombe parfois par hasard sur des documents inédits, improbables, étonnants. La richesse du site facilite à l’heure du numérique une entrée facile et commode vers la matière bretonne, aide à la démocratisation du savoir, va aider aussi d’autres travaux universitaires, de recherches et permettre de nouvelles études plus riches, plus critiques et approfondies.

Un seul mot : bravo pour ce site généreux. Bravo pour cet immense travail qui met à disposition des écrits de toutes sortes, une littérature foisonnante et parfois oubliée. Bravo aussi pour offrir une matière brute, des sources de première main, en permettant aux gens de faire eux-mêmes le tri, en les laissant s’imprégner d’une matière impressionnante. Bravo surtout d’aider au souci de l’éducation à la matière de Bretagne. On sait que l’histoire ou même la géographie bretonne sont très peu enseignées par l’éducation nationale. La Bibliothèque numérique bretonne et européenne comble un immense vide. Est déjà une base essentielle pour retrouver des écrits majeurs, en revenir aux origines, remettre des documents dans leurs contextes, avoir librement accès à la matière du pays. Un site au final généreux. Uniquement généreux. Aux Bretons, s’ils le souhaitent de s’y intéresser et éventuellement de soutenir une véritable œuvre qui peut accompagner et amplifier la passion qu’ont déjà les Bretons pour leur pays.

Le site de l’IDBE en ligne : http://bibliotheque.idbe-bzh.org/

Jean Ollivro, Bretagne Prospective

À Lannion, Tringaboat ou l’expérience terre et mer

À Lannion, Tringaboat ou l’expérience terre et mer

Depuis dix ans, à Lannion, Tringaboat développe un concept exclusif de bateau unique, puisqu’il est le premier véhicule homologué au monde à rouler sur route. De son jardin à la mer, en quelques minutes sans quitter son siège de capitaine.
La société Tringaboat vient de livrer son premier bateau routier de série. Le Tringa T650 Armoric est parti en Normandie. Son propriétaire est le premier plaisancier au monde à circuler sur route. Un travail de très longue haleine mené par Guirec Daniel, fondateur de la société et son équipe.

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Article de Valérie Lemoigne publié sur letelegramme.fr

« Book Hémisphères », lauréat des 14e Trophées bretons du développement durable dans la catégorie « Entreprise »

« Book Hémisphères », lauréat des 14e Trophées bretons du développement durable dans la catégorie « Entreprise »

La remise des Trophées bretons s’est déroulée ce mardi 22 septembre, à distance, pour cause d’épidémie de Covid. Lauréate dans la catégorie « Entreprise », spécialisée dans le réemploi du livre et des produits culturels, Book hémisphères agit aussi pour l’insertion professionnelle.

Installée à Kervignac, dans les Morbihan, Book Hémisphères est une entreprise d’insertion qui se consacre à la collecte et la revente de livres et depuis peu, de produits culturels.

Book hémisphères redonne vie aux livres…

Ainsi, depuis sa création en 2004, 4,4 millions de livres ont échappé à la poubelle. Pour les récupérer, la petite entreprise a mis en place tout un réseau de collecte, (…)

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Source : France 3 Régions - Eric Nedjar
Bourg-Blanc (29). MéGO ! met le paquet sur le recyclage des filtres de cigarettes

Bourg-Blanc (29). MéGO ! met le paquet sur le recyclage des filtres de cigarettes

L’idée est aussi banale qu’elle est géniale ! Depuis trois ans, l’entreprise MéGO récupère, trie et recycle les mégots de cigarettes pour en faire du mobilier urbain. Démarrée à petite échelle, l’activité prend de l’ampleur et gagne en notoriété. Plusieurs collectivités et de nombreux collecteurs en France s’y intéressent. Pour autant, Bastien Lucas, fondateur et gérant de MéGO, ne s’enflamme pas. Si le développement de l’entreprise va crescendo, il se fera dans le respect des valeurs de cette jeune pousse brestoise : donner du sens au tri, responsabiliser les citoyens et participer à la préservation de l’environnement. Pour lui, l’aventure ne fait que commencer !

Les prototypes dessinés par le designer costarmoricain Vincent Beaucourt trônent au milieu de l’entrepôt. Plusieurs exemplaires partiront bientôt aux Sables d’Olonne pour équiper la ville départ du Vendée Globe de ces éléments urbains : des bancs en métal forgé et coiffés d’une assise en aggloméré d’acétate de cellulose, matière plastique extraite des mégots de cigarettes recyclés à deux pas de là.

La première et l’unique unité de traitement des mégots en France
On passe la rue et nous voici plongés au coeur du réacteur de MéGO, dans l’atelier où (…) Lire la suite de l’article

Article de Maud Duval publié le 21/09/2020 sur Bretagne-Economique.com

Fidal aide l’investissement

Fidal aide l’investissement

Particulièrement actif en Bretagne, le groupe Fidal regroupe différents avocats d’affaires et juristes. Depuis longtemps convaincus de la nécessité d’avoir un ancrage territorial et des activités productives en Bretagne, la direction à la Mabilais (Rennes) est très volontairement complétée par d’autres antennes et implantations au plus près des acteurs économiques bretons, notamment à Brest, Quimper, Saint-Brieuc, Vannes, Lorient.

Dans le contexte actuel, ce maillage est déterminant d’autant que des aubaines apparaissent pour une relance davantage territorialisée, associer davantage les entreprises dans un contexte difficile, conforter aussi les points forts de l’économie bretonne qui s’individualisent dans la cyber sécurité, l’agro-alimentaire, la recherche, les services… C’est à ce titre que le groupe s’associe à ABF pour mieux informer et aider les entreprises à bénéficier des dispositifs actuels d’aides au développement. D’autant que ces mécanismes actuellement disponibles permettent de bénéficier de différentes aides et subventions, dans le cadre d’appels à projets.

A noter notamment le dispositif Résilience, actuellement disponible et déterminé à renforcer les investissements dans les unités de production, soit pour les moderniser, soit pour initier des procédés technologiques innovants : l’agroalimentaire, la santé, l’électronique et les TIC la fourniture des intrants essentiels à l’industrie (chimie, métallurgie et matières premières). Les acteurs et entreprises intéressés peuvent directement contacter le groupe Fidal (pièce jointe).

Ce qui est présenté comme une crise peut-être aussi perçu comme un tournant pour conforter l’originalité productive de la Bretagne.

A différents niveaux, la reterritorialisation est un élément central pour limiter les importations trop lointaines, conforter l’emploi et les dynamiques productives de la Bretagne.

fidal aide l’investissement

Légende de la photo : Laurent Drillet, directeur régional de Fidal

Des industriels bretons lancent la première filière locale de protéines végétales

Des industriels bretons lancent la première filière locale de protéines végétales

Les industriels bretons Eureden, Tromelin et Valorex ont officialisé jeudi dans le Finistère la création d’un GIE (groupement d’intérêt économique) « Service de Valorisation des Protéines ». Concrètement, les trois entités, qui ont signé un accord de partenariat tripartite le 16 juin, vont mettre en commun leurs compétences respectives pour créer une filière de production végétale riche en protéines, la première en France à l’échelle d’un territoire.

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Article de Nicolas Olivier publié sur francebleu