Des algues sous serres dans les terres du Léon

Passer de la culture de légumes à la culture d’algues sous serres, ce n’est pas la mer à boire. C’est du moins la conviction et l’audacieux pari de Jean-François Jacob. Le légumier du Léon, ex président de la puissante Sica de Saint-Pol-de-Léon (un millier d’adhérents) ), voulait diversifier ses activités. Mais il n’y est pas allé avec le dos de la cuillère puisque l’énorme projet qu’il conduit devrait bientôt déboucher sur la première serre de macroalgues algues au monde, à Saint-Pol-de-Léon sous l’égide de la société Berzhin-Breizh (algue bretonne), comme il l’a révélé au Télégramme.

Pour un légumier, cela paraît un brin extravagant mais n’est-on pas ici sur les terres de ces paysans qui ont naguère créé la Brittany Ferries, aujourd’hui première compagnie française de transport de passagers ? De la terre à la mer, il n’y a qu’un pas. Et vice-versa dans ce pays de terriens marins.

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Article de René Perez publié sur bretagne-bretons

Olmix : l’entreprise bretonne leader mondial dans l’algue marine

Olmix : l’entreprise bretonne leader mondial dans l’algue marine

Les entreprises bretonnes sont extrêmement dynamiques. Y compris, et surtout, à l’exportation.
Olmix est un des leaders mondiaux dans le secteur de la production et de la transformation des algues marines. Il est le « spécialiste des solutions naturelles algo-sourcées. Pour l’hygiène, la nutrition et la santé des plantes, des animaux et des humains. »

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Article de Rémy Penneg sur nhu.bzh

Algolife prépare une future filière internationale en Bretagne

Algolife prépare une future filière internationale en Bretagne

Réussir à homologuer et à produire, en grande quantité, des molécules de grandes algues qui boostent la santé humaine et animale. C’est le pari d’Algolife. Un projet qui se joue à Roscoff.

Qu’est-ce que le projet Algolife ?

Il doit permettre de créer « une filière de valorisation des molécules bioactives issues des grandes algues pour fabriquer des produits à haute valeur ajoutée, à destination des marchés de la nutrition-santé humaine et animale ». Le projet, lancé en février 2014 et prévu pour durer cinq ans, a été labellisé Programme d’investissements d’avenir en 2015.

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Article publié dans Ouest-France