Thomas tout proche de son rêve

Le 24 septembre, Thomas André prendra le départ de la 24e édition de la Mini transat 6.50 au départ des Sables-d’Olonne à destination de Saint-François en Guadeloupe. Cet ancien élève de Diwan veut mettre à profit cette course pour faire la promotion de l’enseignement du breton et en breton.

Pour réaliser ce rêve, il a lancé une campagne de financement participatif sur la plateforme bretonne Kengo.

Aujourd’hui, 84,8 % de la somme demandée sont récoltés. Pour l’aider à finaliser son projet : https://kengo.bzh/projet/4269/thomas-et-diwan-sur-latlantique

Thomas avec Diwan sur la Mini Transat

Embarquons Diwan sur l’Atlantique !

« Moi c’est Thomas, « Tom » ou « Tomaz » pour les amis. J’ai 23 ans, je suis skipper, et je veux embarquer les écoles en breton Diwan avec moi sur la Mini-Transat ! Un appel aux dons est lancé sur Kengo.

Grâce à votre aide, je pourrai :

  • M’inscrire à la Mini Transat, et ramener Frankiz par cargo jusqu’en terre sainte (la Bretagne) !-
  • Fiabiliser « Frankiz » pour être sûr d’arriver le premier en Guadeloupe !
  • Acheter de nouvelles voiles afin que mes concurrents puissent les admirer (loin derrière) !
  • Mais surtout afficher les couleurs de la langue bretonne tout au long de cette course ».

L’intégralité sur kengo.bzh

Une nouvelle école Diwan à Notre-Dame des Landes en projet

Une nouvelle école Diwan à Notre-Dame des Landes en projet

Lancé en 2019, ce projet d’école immersive en langue bretonne est allé de l’avant, malgré la crise sanitaire actuelle. Aujourd’hui, tous les facteurs sont réunis afin d’ouvrir l’école : nombre d’enfants pré-inscrits, mobilisation bénévole forte, contrat signé avec le réseau Diwan…

Trouver un lieu d’implantation pour l’école reste difficile malgré plusieurs contacts avec les collectivités locales. Le comité de soutien cherche donc des solutions alternatives. Pour cela il a besoin de lever des fonds à hauteur de 12.000 € pour permette l’achat de 2 classes modulaires, de payer le transport et la préparation d’un terrain pour pouvoir ouvrir l’école en septembre 2021. Ce ne sera pas facile, mais la motivation est là ! Vous pouvez contribuer au projet.

Plus d’informations

Soutenir Diwan avec les intérêts de son épargne

Soutenir Diwan avec les intérêts de son épargne

Le réseau Diwan vient de signer une convention de 18 mois avec le Crédit Agricole du Finistère permettant aux titulaires de certains livrets d’épargne de faire don de leurs intérêts à Diwan. Rencontre avec Bertrand Le Boité, directeur des services bancaires et du patrimoine au Crédit Agricole du Finistère, mais aussi bretonnant et père à Diwan.

Comment choisir Diwan en tant que bénéficiaire des intérêts de mon épargne ?
Pour choisir Diwan comme bénéficiaire, il est nécessaire de détenir un LDDS au Crédit Agricole du Finistère. C’est très simple : si on est déjà client, il suffit de de télécharger le formulaire sur notre site web (en bas de la page), de désigner Diwan comme bénéficiaire et de le transmettre à l’agence bancaire ou d’utiliser la messagerie sécurisée d’accès aux comptes.

Qu’est-ce que le LDDS ?
Le Livret De Développement Durable et Solidaire (LDDS) est un livret d’épargne classique qui permet aux titulaires de faire des dons à des organisations de l’économie sociale et solidaire. Le montant du don est libre avec un minimum de 10 €.

L’intégralité de l’article

Article publié sur diwan.bzh

L’incroyable épopée des écoles Diwan

En 1977, cinq familles décidaient de créer une école où tous les cours étaient donnés en breton. Aujourd’hui, 4000 élèves suivent un tel enseignement.

On dira qu’avec de tels prénoms, leur destin était écrit. En 1977, Alan, Glen, Gwenaelle, Onenn et Yann sont les cinq premiers élèves de l’école maternelle de Lampaul-Ploudalmezeau, dans le Finistère ; les tout premiers à suivre une scolarité non pas en français, mais en breton. Malgré les sourires narquois, les hostilités larvées, les craintes sincères, les propos définitifs assénés à leurs parents : « Vous êtes fous ! Vos enfants ne sauront jamais parler français ! »

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Article de Michel Feltin-Palas, L’Express