L’Agence spatiale européenne fait une nouvelle fois appel au savoir-faire de Jean Hénaff

L’Agence spatiale européenne fait une nouvelle fois appel au savoir-faire de Jean Hénaff

A l’occasion de sa deuxième mission en 2021, Thomas Pesquet, l’astronaute de l’Agence Spatiale Européenne (ESA), embarquera à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) une sélection de plats gastronomiques. Elaborés par le Chef Thierry Marx et le chercheur en physico-chimie Raphaël Haumont, ces plats sont ensuite dressés et appertisés par la société Jean Hénaff. Une opération délicate pour la PME bretonne qui doit garantir une hygiène irréprochable.

Au total, quatre nouveaux plats sont développés par les codirecteurs du Centre Français d’Innovation Culinaire (CFIC), pour embarquer à bord de l’ISS après avoir été appertisé par l’entreprise finistérienne Jean Hénaff.

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Article de Véronique Maignant publié sur bretagneeconomique.com

Hénaff embarque pour l’exploration lunaire

Hénaff embarque pour l’exploration lunaire

Est-il possible de faire une omelette dans une navette spatiale ? Que mangeront les astronautes de la future base lunaire ? Ces questions vont occuper une poignée d’entreprises bretonnes pendant plusieurs années. Le Centre national d’études spatiales a chargé l’entreprise Hénaff (Pouldreuzic-Finistère) de  piloter un projet sur l’alimentation lors de missions spatiales sur la Lune.

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Article d’Adèle Le Berre publié sur actu.fr

Pâté Hénaff change de cap

Pâté Hénaff change de cap

Le groupe Jean Hénaff continue sa diversification et sa direction vers le bio et le durable suite à plusieurs événements survenus ces dernières années remettant en cause ses produits et ses fournisseurs de porcs. Tout d’abord il y a eu des reportages anxiogènes comme celui sur les nitrites dans la charcuterie en général, présenté par Cash investigation en septembre 2016. L’OMS avait quelque temps auparavant déclaré que les nitrites, ces conservateurs ajoutés aux produits de charcuterie, mais rares dans les produits Hénaff, étaient «probablement» cancérigènes. La consommation de charcuterie a diminué en France de 4% juste en 2017 (source BFM-TV).

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Article de Philippe Argouarch publié sur abp.bzh