Brexit. La double peine pour la Bretagne !

Brexit. La double peine pour la Bretagne !

Le Brexit pose un certain nombre de questions, notamment en ce qui concerne les futurs rapports économiques que le continent et le Royaume-Uni entretiendront. Parmi eux, la question du fret irlandais que les ports bretons de Brest et de Roscoff aimeraient pouvoir accueillir.

Malgré la proximité évidente des ports bretons, ceux-ci pourraient se voir refuser la possibilité d’accueillir le trafic de marchandises en provenance d’Irlande. Entre autres causes, leur éloignement du centre de l’Europe contrairement aux ports du Benelux. C’est donc la double peine pour la Bretagne : non seulement elle est éloignée du centre de l’Union européenne (et donc des marchés économiques ainsi que des décisions politiques), mais on lui interdirait la possibilité de développer des lignes transversales.

L’intégralité de l’article

Article de Gael Briand publié sur lepeuplebreton.bzh

Brest : 40 hectares dédiés aux énergies marines renouvelables

Brest : 40 hectares dédiés aux énergies marines renouvelables

Depuis janvier 2017, les travaux engagés sur le port de Brest doivent consolider l’activité commerciale du site. Ce chantier de 220 millions d’euros accueillera sur un polder de 40 hectares de nouvelles activités industrielles de pointe, notamment celles liées aux énergies marines renouvelables.

Le terminal industrialo-portuaire de Brest, connu pour ses activités commerciales et de réparation navale, a encore un potentiel urbain et maritime à exploiter. Et le développement économique de la métropole, dont les activités maritimes constituent le premier gisement d’emploi, passe par son port.

L’intégralité de l’article

Article de Pascale Paoli-Lebailly publié sur latribune.fr