Avec l’aide des abeilles, le sarrasin fait son retour en Bretagne

Avec l’aide des abeilles, le sarrasin fait son retour en Bretagne

À Pordic (Côtes-d’Armor), sur 348 hectares, la coopérative Garun paysanne fait le pari de réimplanter le sarrasin. Les abeilles de Jean-Michel Auffret permettent une meilleure pollinisation.

La coopérative Garun paysanne, en partenariat avec la minoterie de Roncin et les établissements Bertel, a fait le pari de réimplanter le sarrasin, appelé aussi blé noir, sur 348 ha, à La Bouillie.

« La culture du sarrasin permet une diversification et entraîne un allongement des rotations culturales. Nous souhaitons promouvoir l’agriculture bretonne et locale. Le but étant de produire et de consommer en circuit court », explique Julie Piedallu, chargée de communication de la coopérative.

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Article publié sur ouest-france.fr

Le retour du sarrasin en Bretagne

Le retour du sarrasin en Bretagne

La coopérative Garun-Paysanne a choisi de renforcer la culture du sarrasin auprès de ses adhérents.

Relocaliser une culture locale et responsable

« Cette culture est une diversification avec de nombreux atouts comme l’allongement des rotations culturales, et la culture demande peu d’entretien, aucun produits phytosanitaires », rappelle la coopérative dans un communiqué le 29 juillet. L’action a rencontré un immense succès avec plusieurs centaines d’hectares implantés.

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Article publié sur le site paysan-breton.fr

Économie vivante : la culture du blé noir en Bretagne

Économie vivante : la culture du blé noir en Bretagne

Un séjour en Bretagne sans passer par la case « dégustation galette de blé noir complète + crêpe « caramel beurre salé » + bolée de cidre », n’est pas un véritable séjour en Bretagne. Là où l’on s’étonne un peu, c’est que les galettes bretonnes ne sont pas 100% locales : 70 % du sarrasin utilisé dans les crêperies de la péninsule est importé de Russie ou même de Chine ! Réinstaurer la culture du blé noir en Bretagne, voilà la mission que s’est donnée ViVaTerr, pour revitaliser l’économie bretonne.
La Bretagne consomme 3,5 fois plus de blé noir que la moyenne française : 11.000 tonnes par an. Pour autant, elle n’en produit que 3.000 tonnes : ce scoop est une nouvelle illustration des conséquences absurdes de l’économie financière. De 370.000 hectares de sarrasin dans les années 1900, la production bretonne est tombée à quelques centaines d’hectares en 1980, au profit de cultures à fort rendement comme le blé, l’orge et le maïs.

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Article publié sur ecologiehumaine.eu