David Lesvenan, président de l’association .bzh, était le troisième grand témoin de l’université d’été 2025 de Bretagne Prospective. Cette journée rassemblait plusieurs acteurs de 4 grands ensembles régionaux : Bretagne, Normandie, Val de Loire, Vendée/Poitou.
Fin août 2025, le think tank breton a réuni à Nantes des acteurs de ces territoires pour échanger sur les constats faits par différents intervenants, mais aussi pour proposer des pistes d’évolution afin de gagner en efficacité. Un sondage Ifop publié le même jour soulignait « le régionalisme français qui s’affirme comme une dynamique majoritaire incitant à repenser l’organisation territoriale du pays », selon François Fraus, directeur de l’institut de sondage. Le thème de l’université d’été répond ainsi aux attentes des citoyens. Ces sujets ont été abordés par Jean Ollivro en ouverture de cette journée de réflexion stimulante.
La Bretagne n’est pas seulement une terre de culture et d’histoire. Elle s’impose aussi comme une région innovante et dynamique dans le numérique. Face aux géants américains qui dominent nos communications, une start-up bretonne a décidé d’agir, et Bretagne Prospective investit d’ailleurs cette plateforme pour sa communication ! Son nom : Treebal. Souvent présenté comme le WhatsApp breton, Treebal est bien plus qu’une simple messagerie. Cette application bretonne combine souveraineté numérique et écologie. Elle démontre qu’un numérique responsable est possible et qu’il peut naître en Bretagne. Lire l’intégralité de l’article
En dépit de leurs vertus, la RGPD, le DSA, le DMA ne suffisent pas à garantir la sécurité économique des organisations. Faute d’avoir les moyens de nos ambitions européennes, la transition écologique et sociale du numérique offre une voie de progrès à même de redonner leur autonomie stratégique aux organisations pour reconquérir pas-à-pas notre souveraineté. Souveraineté et responsabilité du numérique : une équation insoluble Les acteurs du numérique doivent répondre à l’équation insoluble de concilier souveraineté technologique et responsabilité numérique. L’intégralité de l’article
La question du numérique sous-tend celle de la « souveraineté numérique », soit la capacité d’un État à contrôler et à gérer ses données administratives, celles de ses entreprises et de ses citoyens, ses infrastructures numériques et les technologies de l’information.
Plus encore qu’en d’autres domaines, cette question porte sur les relations entre les États-Unis, la Chine et l’Union européenne : les Américains innovent, les Chinois copient et les Européens réglementent… l’intégralité de l’article