Souhaiter ses voeux en breton est de plus en plus normal

Souhaiter ses voeux en breton est de plus en plus normal

Des voeux en breton est une tendance forte et durable qui gagne toute la Bretagne, et même bien au-delà. Face à une certaine hégémonie de langues dites dominantes comme l’anglais, voire le français, de plus en plus de Bretonnes et de Bretons optent pour des vœux en breton (voir la carte de vœux de Bretagne Prospective). Souhaiter des vœux en anglais en Bretagne ce fut in à une période. Les temps changent, la société évolue et l’avenir est au breton.
Même de la part de personnes ne parlant pas cette langue. Et même bien au-delà de la seule Bretagne. En effet, la diaspora bretonne internationale est très importante. Elle s’approprie également cette tendance de fond à souhaiter des vœux en breton.

Rostrenen : du granulé 100% breton

Rostrenen : du granulé 100% breton

Celticoat a démarré la production de granulés de bois-pellets cet automne, à Rostrenen (22). L’usine est toute neuve et devrait produire 25 000 tonnes de pellets par an. C’est la deuxième plus importante entreprise de granulés de bois en Bretagne.

A quelques kilomètres du bourg de Rostrenen, une usine flambant neuve, Celticoat. Elle fabrique du granulé de bois pour les poêles et les chaudières, depuis septembre dernier. La matière première vient d’une scierie située à Carhaix, la société Aprobois. C’est la maison mère de la nouvelle usine. Cette dernière est le leader régional du marché breton de la palette de manutention et produit des milliers de tonnes de déchets de bois, qui n’étaient pas aussi bien valorisés jusqu’à présent.

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Article de Sylvaine Salliou, publié sur le site de France 3 Bretagne

Retour à l’écotaxe poids lourds : « opposition absolue » des acteurs économiques bretons

Retour à l’écotaxe poids lourds : « opposition absolue » des acteurs économiques bretons

Alors que la ministre des Transports envisage de créer une nouvelle taxe sur le transport de marchandises par route, le Collectif des acteurs économiques bretons contre l’écotaxe rappelle dans un communiqué de presse son opposition absolue à toute forme de réintroduction d’une taxe kilométrique sur le transport routier de marchandises.

« Cette taxe accroîtrait les coûts de production des produits agricoles et industriels, de surcroît de régions périphériques comme la Bretagne », indique Joël Chéritel, Chef de file du Collectif contre l’écotaxe et président du Medef Bretagne. Selon le Collectif*, les entreprises de transport de marchandises prennent largement leur part au financement des infrastructures par le biais de la TICPE, de la taxe à l’essieu, des péages et désormais de la taxe carbone.

* Le Collectif des acteurs économiques bretons contre l’écotaxe représente 150 000 entreprises employant 900 000 actifs.

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Article de Véronique Maignant publié sur le site de la Bretagne Economique

La Bretagne se projette dans la PAC d’après 2020

La Bretagne se projette dans la PAC d’après 2020

La session plénière du Conseil régional qui s’est déroulée les 14 et 15 décembre a notamment été l’occasion de donner la contribution de la région sur l’avenir de la politique agricole commune. Avec un objectif : « retrouver le sens perdu de la PAC ».
Revisitée à de multiples reprises, la politique agricole commune (PAC) a profondément évolué depuis sa création, passant d’une logique de contrôle des prix à un dispositif d’aides directes. Un nouveau processus de révision a débuté suite à la consultation ouverte en début d’année par la Commission européenne. Elle devrait aboutir en 2021. « Grande région agricole, la Bretagne ne pouvait pas rester à l’écart de ce débat et c’est pourquoi nous avons souhaité ouvrir un débat public sur cette prochaine réforme », a rappelé le président Loïg Chesnais-Girard.

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Article de Arnaud Marlet publié sur le site Terra

Un dynamisme digital breton qui remet en cause l’hégémonie parisienne !

Un dynamisme digital breton qui remet en cause l’hégémonie parisienne !

Il y a un an, l’équipe de la West Web Valley et ses partenaires se lançaient un défi : « Créer une infographie de l’écosystème digital breton (à 5 départements, évidemment !)« . L’idée était de gagner du temps lors de nos rencontres avec les startups car la question qui revenait le plus régulièrement était: « Est-ce que vous pouvez m’expliquer qui fait quoi ? ». Pas simple de répondre à cette question et pas évident d’être exhaustif, mais cette initiative fut globalement bien accueillie par les « faisous » du numérique (laissons de côté les quelques « disous » grincheux).

Un écosystème exemplaire et en croissance

Les trois French Tech du territoire (FrenchTech Brest+, Nantes Tech et la FrenchTech Rennes/Saint-Malo) confirment leur rôle de points d’entrée incontournables pour toute personne ou structure souhaitant avancer dans le digital.

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Article de Sébastien Le Corfec, Cofondateur de la WestWebValley