Rennes. Les étoiles du digital créent leur université

Rennes. Les étoiles du digital créent leur université

MV Group, HelloWork et Klaxoon, trois pépites rennaises du digital, créent leur propre centre de formation aux métiers du numérique. Son nom : Stage301.

À elles trois, ces entreprises rennaises emploient quelque 600 salariés. MV Group, HelloWork et Klaxoon n’ont pas fini de grandir. Dans les trois mois, elles prévoient de recruter une centaine de collaborateurs supplémentaires. Mais voilà, à l’instar de toutes les start-up françaises, elles peinent parfois à recruter. La faute, entre autres, à un marché du numérique qui va plus vite que les établissements de formation. « Quand le RGPD (règlement général sur la protection des données, NDLR) a été créé, les entreprises du digital ont cherché tout à coup des « Data privacy manager », pour gérer les données privées ». Problème, aucun établissement ne proposait une telle formation en si peu de temps, cite en exemple Jérôme Armbruster, président d’HelloWork (ex-Régionsjob). « 85 % des métiers à l’horizon 2030 n’existent pas aujourd’hui », complète Matthieu Beucher, patron de Klaxoon.

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Article paru dans Le Télégramme

Transition énergétique de l’Ile de Sein : non, la Loi Littoral actuelle n’est pas responsable des blocages !

Transition énergétique de l’Ile de Sein : non, la Loi Littoral actuelle n’est pas responsable des blocages !

Lors des discussions du projet de loi ELAN portant sur l’évolution de l’aménagement, du territoire et du numérique, le Sénat a adopté en première lecture un amendement qui « permettrait la production d’énergies renouvelables » (amendement n°336 rectifié bis). Cet amendement vise à inscrire dans la loi une dérogation pour l’implantation d’éoliennes dans les îles non raccordées de moins de dix kilomètres de large. En fait cet amendement peut laisser croire d’une part que c’est la Loi Littoral qui empêche le développement des énergies renouvelables sur les îles, d’autre part qu’il n’y a pas d’autre solution pour y produire de l’énergie que d’y implanter des éoliennes. Surtout, il peut laisser penser qu’une fois cet « obstacle » levé, rien ne s’opposera plus à la transition énergétique dans les îles bretonnes. Sinon peut-être quelques arriérés opposés au progrès.…

Rappel …
Rappelons d’abord – car c’est essentiel – qu’il y a de nombreuses manières de produire des énergies renouvelables sur les îles. L’éolien n’est qu’une de ces manières. Sur l’île de Sein, en tous cas l’énergie solaire, l’énergie des courants et de la marée et l’énergie des vagues sont disponibles.

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Article paru sur nhu.bzh

Actility, la start-up bretonne un brin licorne

Actility, la start-up bretonne un brin licorne

Tous les jours, de nouvelles dénominations sont créées pour illustrer de nouvelles idées. Ce n’est pas évident de tout suivre et de tout comprendre. Et on ne dirait pas comme ça, mais la Bretagne “pèse dans le game”, comme disent les millenials. En effet, la Bretagne est un berceau, du genre Silicon Valley à l’échelle du beurre salé. Vous connaissez Penn Ar Boxacteur majeur de la propulsion de bonheur salé, par exemple. Et bien, dans une autre catégorie, connaissez-vous Actility ? Ce n’est pas forcément une entreprise à laquelle vous allez avoir affaire au quotidien, et pourtant, elle le facilite. Découvrons ensemble Actility, cette start-up bretonne un brin licorne.

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Article publié sur le site portdattache.bzh

Transition énergétique : les îles bretonnes toujours en action

Transition énergétique : les îles bretonnes toujours en action

Le 8 septembre, l’association des Iles du Ponant et ses partenaires se sont retrouvés sur l’île de Ouessant pour faire un bilan de leurs avancées en matière de transition énergétique. Un projet de grande ampleur, qui porte à la fois sur les réductions d’émissions de Co2, les économies d’énergies, mais aussi la production d’énergies renouvelables à base de ressources locales (mer, vent, soleil).

« Accélérer la transition énergétique pour tendre vers l’autonomie ». Voilà l’objectif affiché des îles bretonnes, regroupées au sein de l’association des Iles du Ponant (AIP). En compagnie de leurs partenaires institutionnels (Etat, Ademe, Région Bretagne, Département du Finistère, Syndicat Départemental d’Energie et d’Equipement du Finistère, Syndicat Départemental d’Energie des Côtes-d’Armor) et techniques (EDF, Sabella, Enedis), elles ont présenté vendredi 8 septembre un bilan de leurs actions et les perspectives pour les années à venir.

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Article publié sur eco-bretons.info

Emoji du drapeau breton : une seconde candidature bretonne auprès du consortium Unicode

Emoji du drapeau breton : une seconde candidature bretonne auprès du consortium Unicode

En 2017, le Consortium Unicode, organisation en charge de la standardisation des emojis, a rejeté le dossier de candidature du drapeau breton. Après avoir lancé une nouvelle mobilisation, qui a reçu plus de 20 000 soutiens au cours de l’été, l’association www.bzh en partenariat avec la Région Bretagne renouvelle sa candidature.

Chaque jour, 60 millions de messages contenant un emoji (ou émoticônes) sont envoyés via Facebook,  5 milliards via Messenger,  15 millions via Twitter… Les entreprises se mettent elles aussi et de plus en plus à utiliser des emojis dans leur communication en ayant noté une augmentation du taux d’engagement lié. Sur Facebook, utiliser des emojis génère ainsi 57% de likes en plus et 33% de partages en plus.

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Article de Véronique Maignant publié sur bretagne-economique.com