2 Juin 2019 | À la une
Eric Léandri est à la tête de Qwant. Ce moteur de recherche français, qu’il a lancé en 2013, est présenté comme l’anti-Google, respectueux de la vie privé, sans traçage, neutre dans l’affichage des résultats. Neuf régions françaises l’ont déjà adopté. Demain, jeudi 23 mai, la Bretagne, le Département d’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole et la Ville de Rennes vont l’installer par défaut sur toutes les postes de leurs administrations.
Vous allez installer votre moteur de recherche Qwant sur tous les ordinateurs de quatre collectivités : la Région Bretagne, le Département d’Ille-et-Vilaine, Rennes Métropole et la Ville de Rennes.
Oui, c’est génial. On vient signer une charte de partenariat avec ces collectivités, demain, jeudi 23 mai, à Rennes. Elles installeront Qwant (par défaut sur les PC de leurs administrations et de leurs services au public, N.D.L.R.) au fur et à mesure. Rennes peut aller très vite (les 83 écoles publiques et les 3 000 agents municipaux utilisent déjà Qwant, N.D.L.R.). Le Département et la Région suivront. C’est un processus qui s’enclenche et ira au bout. J’ai beaucoup de plaisir à voir notre moteur de recherche en Bretagne. Qwant est utilisable dans plus de 29 langues, dont les langues régionales, le Corse, le Breton, le Basque, le Gaélique, le Catalan, l’Écossais…
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Article de Yann-Armel Huet publié sur ouest-france.fr
2 Juin 2019 | Actualités
Digor eo bremañ an enskrivañ d’an dud da lakaat o anv en Diplom Studioù Keltiek evit ar bloavezh skol-veur 2019-2020.
L’objectif du Diplôme Universitaire d’Etudes Celtiques (D.E.C.) et du Diplôme Universitaire Supérieur d’Etudes Celtiques (D.S.E.C.) est de fournir, au cœur de l’Université Rennes 2 une formation ouverte à tous, relative à la Bretagne et aux pays celtiques, en langue française.
Cette formation fait découvrir les pays celtiques ; elle amène à explorer l’histoire et la géographie de la Bretagne, à pénétrer l’univers de la création littéraire, artistique et musicale de la Bretagne et à s’initier à l’oralité de la langue bretonne ; enfin, elle fournit un éclairage sur la vie économique, sociale et politique de la Bretagne contemporaine.
Renseignements
30 Mai 2019 | À la une
Le dimanche 16 juin 2019, les agriculteurs et agricultrices de Bretagne vous donnent rendez-vous pour la septième édition de « Tous à la Ferme ! ».
La journée portes ouvertes « Tous à la Ferme ! » est devenue un rendez-vous incontournable du mois de juin en Bretagne. L’an passé, 20 fermes avaient accueilli plus de 23 000 visiteurs. Le dimanche 16 juin 2019 dans toute la Bretagne, les agriculteurs et agricultrices poursuivront dans le dialogue et la convivialité la relation de confiance qui les unit avec les Bretons.
L’intégralité des informations sur l’opération
28 Mai 2019 | Actualités
Créé, il y a dix ans, par une équipe de consultants bretons sous la Présidence de Jean-Luc Poulain, dirigeant de l’Agence éponyme Poulain & Benoist, Breizh-conseil avait pour objectif de fédérer la grande variété des métiers du Conseil en Bretagne. Aujourd’hui, cette Chambre, membre fondateur de la F.N.C.P.C. (Fédération Nationale des Chambres Professionnelles du Conseil) poursuit ce même but en participant à l’animation du territoire et à la création d’emplois dans les entreprises et associations en partenariat avec les Institutionnels bretons. Après avoir réalisé différentes rencontres telles : (suite…)
24 Mai 2019 | À la une
Dans quelques mois, Nicolas Besseau et Émilie Renard ne fileront plus seulement le parfait amour, ils seront aussi capables de valoriser la laine des éleveurs et des particuliers grâce à leur Petite Filature Bretonne. Ce projet osé de micro-filature, à Plouguernével (Côtes-d’Armor), suscite déjà beaucoup de réactions enthousiastes.
En s’initiant au filage au rouet, il y a trois ans, Émilie Renard ignorait qu’elle filait vers une nouvelle destinée. Alors en quête de matière première, la fileuse amateur a fait le tour des éleveurs pour collecter des toisons. Elle a récolté de la laine… et un constat. « En Bretagne, il n’y a pas de gros élevages de moutons, c’est beaucoup de particuliers. Je me suis rendu compte qu’il y a plein de belles choses de qualité mais que ces laines ne peuvent pas être valorisées car les quantités ne sont pas assez importantes ».
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Article de Samuel Uguen publié sur letelegramme.fr