Avec l’appellation, le granit breton prend du galon

Avec l’appellation, le granit breton prend du galon

Laurent Rault, producteur de granit à Louvigné-du-Désert, près de Fougères, a reçu le label Indication géographique, vendredi 21 septembre 2018. Cette marque a été créée en 2017 pour lutter contre les importations massives de granit étranger à des prix défiants toute concurrence.

Laurent Rault, le dirigeant de l’entreprise de production de granit à Louvigné-du-Désert, a reçu le certificat Indication géographique granit de Bretagne, vendredi lors de l’assemble générale de l’Unicem Bretagne (Union des industriels de carrières et matériaux de construction) à Carnoët, en Côtes-d’Armor.

La renommée du granit de Bretagne dépasse largement les limites de son territoire. Il parcourt parfois des milliers de kilomètres pour être utilisé dans des édifices prestigieux.

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Article publié dans Ouest-France

Ils créent une librairie de l’économie sociale

Ils créent une librairie de l’économie sociale

Trouver une librairie à Bécherel, village médiéval perché sur une colline à 30 kilomètres de Rennes ne surprendra personne, c’est une particularité reconnue de ce village. Mais y trouver une librairie associative entièrement consacrée à l’Economie Sociale et Solidaire est plus surprenant. La librairie « des idées et des livres » est une des seules de ce type en France et la seule en Bretagne.
Ils étaient six au lancement de la réflexion en 2010. Nous avons rencontré trois d’entre eux, Yves Cariou, consultant dans le milieu coopératif, Laurent Prieur, développeur dans le milieu de l’Economie Sociale et Solidaire et Gael Hélary accompagnateur à la création d’entreprises de l’ESS.

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Article publié sur le site www.histoiresordinaires.fr

Face aux métropoles, ces petits territoires veulent se faire entendre

Autour de Redon, treize communautés de communes créent une association. Le but ? Réussir à avoir une voix, une vision commune face aux métropoles, aux Régions ou à l’État.

Comment dialoguer avec l’État, les Régions, les métropoles quand on représente un petit territoire ? Autour de Redon, treize présidents de communautés de communes représentant 570 000 habitants pensent avoir trouvé la solution : parler d’une seule voix à travers une association, en cours de création. « Elle va nous permettre de développer une vision commune. La nôtre, pas celle de Rennes, Nantes ou Paris », se réjouit Jean-François Mary, à la tête de Redon agglomération.

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Article d’Audrey Vairé publié sur ouest-france.fr

Femmes de Bretagne. Les lauréates des Prix Eco-visionnaires

Femmes de Bretagne. Les lauréates des Prix Eco-visionnaires

Le réseau Femmes de Bretagne a décerné, mercredi à Lorient, ses premiers prix Eco-visionnaires avec O’bocal, Fongicide végétal, Rizhome et Dans l’ensemble.

74 dossiers reçus

En lançant Femmes de Bretagne en 2014, Marie Éloy ne pensait pas que ce réseau d’entraides pour la création d’entreprises par des femmes, allait réunir aujourd’hui 6 800 adhérents, entre la Bretagne et la Loire-Atlantique. C’est aussi pour mettre en avant ces initiatives mariant territoire, développement durable et entrepreneuriat, que ces premiers prix ont été décernés, mercredi soir, à la Cité de la voile Éric Tabarly à Lorient. 74 dossiers avaient été reçus et le jury a choisi entre 14 candidates présélectionnées.

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Article publié sur ouest-france.fr

Rennes. Les étoiles du digital créent leur université

Rennes. Les étoiles du digital créent leur université

MV Group, HelloWork et Klaxoon, trois pépites rennaises du digital, créent leur propre centre de formation aux métiers du numérique. Son nom : Stage301.

À elles trois, ces entreprises rennaises emploient quelque 600 salariés. MV Group, HelloWork et Klaxoon n’ont pas fini de grandir. Dans les trois mois, elles prévoient de recruter une centaine de collaborateurs supplémentaires. Mais voilà, à l’instar de toutes les start-up françaises, elles peinent parfois à recruter. La faute, entre autres, à un marché du numérique qui va plus vite que les établissements de formation. « Quand le RGPD (règlement général sur la protection des données, NDLR) a été créé, les entreprises du digital ont cherché tout à coup des « Data privacy manager », pour gérer les données privées ». Problème, aucun établissement ne proposait une telle formation en si peu de temps, cite en exemple Jérôme Armbruster, président d’HelloWork (ex-Régionsjob). « 85 % des métiers à l’horizon 2030 n’existent pas aujourd’hui », complète Matthieu Beucher, patron de Klaxoon.

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Article paru dans Le Télégramme