Mais comment est né Produit en Bretagne ?

Mais comment est né Produit en Bretagne ?

Produit en Bretagne fête ses 25 ans. Pionnier français du marketing territorial, l’association compte aujourd’hui 400 entreprises adhérentes dans les cinq départements de la Bretagne historique, totalisant plus de 100.000 emplois. Un succès indéniable, assis sur la très forte identité bretonne qui s’est avérée, au fil des ans, un très bon vecteur de vente pour les entreprises rejoignant le mouvement. La Bretagne constituait un terroir idéal pour une telle initiative qui aurait probablement eu plus de mal à prospérer dans certaines autres régions. « Produit en Franche-Comté », ça sonne forcément moins bien.

Le petit phare jaune, emblème de la marque, s’est alors mis à fleurir mais pas à n’importe quelle condition car l’association a des critères de sélection stricts et bien des entreprises candidates n’ont pu passer le seuil de ce groupement, depuis sa création en 1993.

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Article publié sur le site bretagne-bretons.fr

L’Université de Brest classée dans les meilleures du monde…

L’Université de Brest classée dans les meilleures du monde…

Comme chaque année, le Academic Ranking of World Universities est très attendu. Le ARWU pour les initiés, ou le classement de Shanghai.
De quoi s’agit-il ?
C’est la référence internationale du classement des universités du monde entier. Des cinq cent meilleures universités généralistes. Mais également pour de très nombreuses disciplines. Ainsi on y trouve le classement des meilleures universités en génie civil comme en médecine. Également en biotechnologie, en télécommunications, en énergies… et bien d’autres.

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Article de Rémy Penneg publié sur le site nhu.bzh

Brexit : la région Bretagne défend ses ports

Le président de la région Bretagne, Loïg Chesnais-Girard, alerte le ministre des Affaires étrangères sur les pistes de travail de l’Europe, pour sa connexion avec l’Irlande, suite au Brexit. Des relations qui privilégieraient la Belgique et les Pays-Bas, en faisant l’impasse sur les ports bretons.

La Commission Européenne vient d’adopter une proposition, concernant les connexions entre l’Irlande et le reste de l’Union européenne, après l’entrée en vigueur du Brexit. Cette proposition, relative à l’aménagement du corridor logistique Mer du Nord Méditerranée du réseau RTE-T « semble ignorer totalement les ports français, pour privilégier en particulier une connexion entre Cork et des ports belges et néerlandais », relève le président de la région Bretagne, Loïg Chesnais Girard, qui alerte par courrier adressé ce vendredi soir, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. « La confirmation d’une telle décision serait une injure à la géographie, un camouflet inacceptable à la France en ce qu’elle ignorerait totalement notre système portuaire et un préjudice important pour le développement du port de Brest et de Roscoff », considère le président de la Région.

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Article de Krystell Veillard publié sur le site de France 3 Bretagne

Vu d’Espagne. La guerre française contre le tilde

Utilisé en breton et en basque, le tilde est un signe diacritique interdit par l’administration française. Une situation qui se traduit par des batailles juridiques en France et qui étonne en Espagne.

FañchIñaki, Begoña, Íñigo ou encore Peña : “Aucun de ces prénoms ne peut être inscrit dans les registres de l’état civil français”, souligne El Periódico de Catalunya. Depuis Barcelone, le quotidien espagnol raconte comment “la France décapite le ñ” en menant la guerre au tilde, ce signe orthographique présent notamment dans les langues basque et bretonne.

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Article publié dans Le Courrier International

Alsace : l’Etat fait un pas vers la fusion des deux départements

Alsace : l’Etat fait un pas vers la fusion des deux départements

Le chef du gouvernement, Edouard Philippe, a chargé la ministre Jacqueline Gourault d’une nouvelle mission de concertation sur l’avenir institutionnel de l’Alsace. Un rapprochement entre Haut-Rhin et Bas-Rhin est envisagé.
« Il existe un véritable désir d’Alsace. » C’était la première des conclusions du rapport signé par le préfet de la région Grand Est, Jean-Luc-Marx, et remis à Matignon courant juin conformément à la mission sur l’avenir institutionnel de l’ancienne région et des deux départements Haut-Rhin et Bas-Rhin que lui avait confiée le Premier ministre.

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Article de Hélène David publié sur lesechos.fr