20 Avr 2021 | À la une
Les notaires bretons vous présentent les derniers chiffres de l’immobilier à travers leur baromètre de l’immobilier.
Vous découvrirez les prix sur l’ensemble de la Bretagne historique et par département Côtes-d’Armor, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique et Morbihan.
Cette année encore, les volumes ont été très élevés malgré le contexte sanitaire.
L’érosion que nous constatons par rapport à 2020 est essentiellement due à un déficit d’offres, notamment sur le littoral et dans les agglomérations.
Un marché sous tension
La pression de la demande a des conséquences sur les prix qui s’envolent, en particulier dans les métropoles de Rennes, Nantes ou Brest comme sur le littoral où il n’est pas rare de constater des hausses supérieures à 10 voire 15%.
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Article publié sur notaireetbreton.bzh
2 Août 2019 | Actualités
Afin d’éviter les spéculations immobilières, la loi du 20 mai dernier protège les espaces fonciers des cultures marines situées en zone littorale. Celles-ci ne pourront plus changer d’affectation avant une période de 20 ans. Dans le Morbihan, le « foncier conchylicole » a fondu d’environ 20 % au cours des dernières années.
C’est ce qu’on appelle avoir les pieds dans l’eau. A tel point que les fermes ostréicoles attirent particuliers et promoteurs désireux de les transformer en maison de vacances en bord de mer. On a pu voir ces dernières années une exploitation partir à plus de 900.000 euros, alors qu’elle avait été initialement estimée à 250.000 euros par la Safer, la Société d’aménagement foncier et d’établissement rural chargée de veiller à la transmission des espaces agricoles.
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Article de Stanislas du Guerny publié sur lesechos.fr
4 Oct 2018 | Actualités
L’immobilier en Bretagne présente de singuliers contrastes. C’est ce qui ressort des chiffres fournis par l’association des notaires bretons (cinq départements) qui vient de détailler l’évolution des prix de vente. La première tendance marquée est l’accentuation du fossé entre les métropoles, comme Nantes et Rennes, et certains secteurs ruraux. D’un côté, une pression de plus en plus forte qui fait grimper les prix dans ces villes économiquement très dynamiques et dopées par les nouvelles liaisons de TGV. De l’autre, des zones rurales où la désertification entamée de longue date est accentuée par la disparition progressive de certains services publics. Le constat vaut aussi pour certaines villes moyennes dont l’immobilier s’est dégradé ces dernières années. En une année, on peut enregistrer des baisses moyennes pouvant aller jusqu’à 10 ou 15 % dans certaines zones rurales, des chiffres diamétralement opposés aux hausses enregistrées dans les deux principales métropoles de l’ouest.
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Article de René Perez publié sur bretagne-bretons.fr