Avec l’aide de la Région, faites de la langue bretonne un atout professionnel !

Parler breton et en faire sa langue de travail, c’est possible ! En Bretagne, plusieurs organismes proposent des formations intensives de 6 à 9 mois pour acquérir de solides compétences en langue bretonne, et qui permettent de prétendre à de nombreux postes. Ces formations peuvent être soutenues par la Région.

En Bretagne, la maîtrise du breton est un réel atout qui peut ouvrir de nouveaux horizons professionnels. Et les opportunités sont nombreuses ! L’Office de la langue bretonne estime en effet que 1600 postes équivalent temps plein exigent cette compétence.

Le principal débouché est celui de l’enseignement, mais il existe également des besoins dans la gestion de structures (direction, secrétariat, comptabilité…), les médias, les collectivités territoriales… Le secteur de la petite enfance a aussi créé des postes pour les brittophones ces dernières années.

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Texte publié sur le site

Denez : « Laisser dépérir la langue bretonne est un crime contre la France ! »

Denez (Prigent) chante – en breton – sur tous les continents, mais ne passe quasiment jamais à la télévision dans son propre pays. « Je n’ai rien contre le français, explique-t-il. En revanche, certains voudraient que je ne sois que français. Là, je dis non. » Entretien.

Chanter en langue régionale n’est pas l’idéal pour faire carrière, sauf, apparemment, quand on a le talent de Denez. Cet artiste étonnant parvient à donner – en breton – des concerts à Paris, en Ecosse, en Espagne, en Allemagne, au Québec, au Kazakhstan, en Chine… L’un de ses titres a même été repris par le réalisateur Ridley Scott (Alien, Blade Runner…) dans son film La chute du faucon noir.

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Chronique de Michel Feltin-Palas

L’incroyable épopée des écoles Diwan

En 1977, cinq familles décidaient de créer une école où tous les cours étaient donnés en breton. Aujourd’hui, 4000 élèves suivent un tel enseignement.

On dira qu’avec de tels prénoms, leur destin était écrit. En 1977, Alan, Glen, Gwenaelle, Onenn et Yann sont les cinq premiers élèves de l’école maternelle de Lampaul-Ploudalmezeau, dans le Finistère ; les tout premiers à suivre une scolarité non pas en français, mais en breton. Malgré les sourires narquois, les hostilités larvées, les craintes sincères, les propos définitifs assénés à leurs parents : « Vous êtes fous ! Vos enfants ne sauront jamais parler français ! »

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Article de Michel Feltin-Palas, L’Express

Le breton pourra être enseigné à distance à la rentrée 2021

Le breton pourra être enseigné à distance à la rentrée 2021

C’est une première ! A la rentrée 2021, les lycéens pourront suivre des cours à distance en breton, via le Cned (Centre national d’enseignement à distance).

« Dans le cadre de la réforme du lycée, cette décision va permettre aux jeunes qui le souhaitent de poursuivre l’apprentissage de cette langue après le collège (quel que soit leur lycée) et de présenter ensuite le breton au baccalauréat en tant que langue vivante », précise la Région Bretagne dans un communiqué.

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Article d’Aurélie Lagain publié sur France bleu

Les locuteurs bretons se trouvent en un clic grâce à bev.bzh

Les locuteurs bretons se trouvent en un clic grâce à bev.bzh

Le tout nouveau réseau social bev.bzh permet à celles et ceux qui parlent breton de se retrouver pour partager un séjour chez l’habitant, un covoiturage, un repas ou une soirée jeux. Et faire de la langue bretonne la langue du quotidien.

David Le Roux, enseignant en traduction à l’université de Rennes 2 (Ille-et-Vilaine), est le créateur de la plateforme bev.bzh. Le réseau social invite les brittophones à parler breton chez eux ou ailleurs, au cours d’un séjour chez l’habitant, d’un repas, d’une soirée jeux ou d’autres activités.

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Article de Nelly Cloarec paru sur ouest-france.fr