Ils révolutionnent le business de l’algue

Ils révolutionnent le business de l’algue

Et si l’algue brune, verte ou rouge devenait le nouvel or vert du XXI siècle ? Et si dans cette course à l’innovation pour limiter l’impact des énergies fossiles, la Bretagne, le Finistère plus particulièrement, était le nouvel eldorado de cette ressource d’avenir ?

Récoltée depuis plusieurs générations, l’algue a longtemps servi d’engrais pour fertiliser les terres agricoles. Mais depuis quelques années, des biologistes, des industriels, des transformateurs et des cuisiniers bretons s’intéressent à l’algue sous toutes ses formes ! Dans le Finistère, à Portsall, à Lanildut et à Lesconil, 4 jeunes ont fait le pari d’investir au pays des algues…

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Article d’Isabelle Billet et Steeve Constant publié sur France3 Bretagne

Olmix met l’algue à tous les rayons

« Les solutions viendront de la mer, à condition qu’on la respecte ». Les spécialistes en sont convaincus : à l’heure où l’humanité s’interroge sur son avenir, ce sont les océans qui apporteront nombre de réponses aux besoins. Hervé Balusson prêche cette conviction depuis plus de trente ans, lui qui dirige l’entreprise bretonne la plus investie dans les algues. Avec deux chiffres qui claquent : 900 employés de 45 nationalités différentes dans le giron de cette entreprise morbihannaise qui a conservé son siège et sa première usine à Bréhan, non loin de Pontivy dans le Centre-Bretagne. En gros, un tiers de ses effectifs sont en France, un tiers en Asie où les algues on connaît et un tiers dans le reste du monde.

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Article publié sur le site bretagne-bretons.fr

Agriculture : et si les algues remplaçaient les pesticides ?

Agriculture : et si les algues remplaçaient les pesticides ?

Jamais sans doute la question n’aura été autant d’actualité. Depuis des mois, les arrêtés des maires interdisant l’utilisation des pesticides trop près des habitations se multiplient. Une tendance qui inquiète les agriculteurs car elle menace leur activité déjà soumise à de nombreuses contraintes. Ce mardi, les manifestations d’agriculteurs se sont multipliées en France et dans le grand ouest, autour de Rennes et de Vannes notamment.

On sent bien que cette question de l’usage des produits phytosanitaires par le monde agricole devient un sujet de fracture dans la société moderne. Pourtant, ces produits, les agriculteurs en ont besoin pour assurer les récoltes qui elles-mêmes sont nécessaires pour nourrir aussi bien les animaux que les humains. Les algues peuvent-elles être une alternative au système actuel ?

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Article publié sur les infos du pays gallo

Centre-Morbihan : du blé aux algues sort de terre

Centre-Morbihan : du blé aux algues sort de terre

L’entreprise Olmix travaille au développement d’une filière céréales. Une récolte de blé aux algues sera récoltée à Réguiny cette année.

Spécialisée dans le traitement des algues, la société Olmix se lance aujourd’hui à l’assaut du marché des céréales. En Bretagne, dans le Centre-Morbihan, on connaît déjà la viande nourrie aux algues, bientôt on pourra déguster du pain et des galettes aux algues.

La minoterie Paulic s’est associée au développement de cette méthode de culture du blé via les algues. Pour assurer le lien entre le producteur et l’industriel, GN solutions à Réguiny se charge d’accompagner les agriculteurs.

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Article de Eléonore Bohn publié dans la Gazette du Centre Morhihan

Une enzyme pour transformer les algues vertes en bioéthanol

Une enzyme pour transformer les algues vertes en bioéthanol

Au moment où des marées vertes viennent à nouveau ternir l’image de la Bretagne, le CNRS et la Sorbonne, tous deux gestionnaires du laboratoire de biologie marine de Roscoff, annoncent une découverte majeure. Avec le concours de chercheurs allemands, ils assurent avoir découvert des enzymes capables de biodégrader l’ulvane, cette enveloppe qui recouvre les ulves, ces algues vertes responsables des marées du même nom. Le procédé, ajoutent-ils, permettrait de produire de l’éthanol, cet extrait de productions végétales qui peut être ajouté à l’essence pour produire du bioéthanol. Mais l’agro-alimentaire et la cosmétique pourraient aussi trouver d’abondantes ressources en transformant la biomasse échouée sur les plages en ressources aux multiples applications.

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Article publié sur le site bretagne-bretons.fr