En Bretagne, des vaches « bas carbone » pour ménager la planète

Rien ne les distingue a priori d’autres collègues ruminants. Et pourtant, les 120 vaches laitières de la ferme expérimentale de Trévarez, dans le Finistère, sont des bovins « bas carbone », objet de minutieuses expérimentations pour réduire leur impact sur le climat.

Avec 14% des gaz à effet de serre issus de l’élevage, selon le Citepa (Centre technique d’études de la pollution atmosphérique), et une forte dépendance au tourteau de soja brésilien, l’empreinte carbone du lait français est loin d’être négligeable.

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Article publié sur nouvelobs.com

Une algue rouge pour réduire le réchauffement climatique

Une algue rouge pour réduire le réchauffement climatique

La journaliste du Washington Post et auteure Ruth Kassinger vient de sortir un livre Slime : How Algae Created Us, Plague Us, and Just Might Save Us (Houghton Mifflin Harcourt, June 2019) où elle expose les propriétés étonnantes des algues dont Asparagopsis taxiformis et comment elles «pourront nous sauver».

Les ruminants émettent 7,1 milliards de tonnes de méthane par an. Ce qui représente en poids 15% de la pollution atmosphérique à effet de serre. Mais pire, à quantité égale, le méthane a un effet de serre 28 fois plus important que le gaz carbonique produit par les moteurs et l’industrie. À noter que si une vache laitière produit 90 kg de méthane par an, un porc n’en produit qu’un seul kilo.

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Article de Philippe Argouarch publié sur le site de l’ABP

Langue bretonne. Le cri d’alarme des associations

Langue bretonne. Le cri d’alarme des associations

Pour les associations de défense de la langue bretonne, si l’on veut encore entendre parler breton dans la région, il faudrait former 5 000 nouveaux locuteurs par an, contre 500 actuellement. Dénonçant l’inaction du Conseil régional de Bretagne, elles ont établi un plan d’actions. Elles espèrent être entendues par les élus.

« Que la langue bretonne soit toujours en vie est un miracle. » C’est un véritable cri d’alarme que relaie Fulup Kere, directeur de DAO, centre de coordination des formations en langue bretonne.

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Article de Philippe Créhange publié sur letelegramme.fr

Pourquoi choisir l’extension .bzh pour son nom de domaine ?

Pourquoi choisir l’extension .bzh pour son nom de domaine ?

Lorsque l’on parle de noms de domaines de sites internet et d’adresses e-mail, l’extension ce sont les quelques lettres qui se trouvent après le point, en fin d’adresse.

Il existe environ trois mille extensions de noms de domaines actuellement. Ces extensions de noms de domaines se classent globalement en deux catégories. D’abord les extensions dites « génériques ». La plus connue et commune est le .com comme commercial. Vous connaissez aussi les .org dédiées aux organisations à but non commercial. Puis les .net, .edu, .gouv pour les sites gouvernementaux, etc …
Par ailleurs, l’autre catégorie rassemble les extensions dites « géographiques » des noms de domaines. Dont le .dk pour le Danemark, le .ie pour l’Irlande et le .cat pour la Catalogne. Également le .sco pour l’Écosse, le .cymru pour le Pays de Galles. Enfin, notre .bzh pour la Bretagne.

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Article de Rémy Penneg publié sur nhu.bzh

L’influence méconnue de la langue bretonne sur le français

L’influence méconnue de la langue bretonne sur le français

L’influence des langues étrangères sur le français est considérable. Outre le latin, le grec, et l’ancien italien qui alimentent les bases linguistiques francophones, s’y adjoignent, entre autres, des emprunts arabes, anglais, allemands, espagnols… mais aussi bretons…

Il existe quelques rares pays multilinguistes, c’est à dire possédant plusieurs langues officielles. Citons le Canada, pour l’essentiel anglophone mais aussi francophone dans sa province québécoise ; la Belgique, néerlandaise en Flandre et francophone en Wallonie ; également Israël où l’arabe et l’hébreu se partagent le titre d’idiomes nationaux ; mais ces pays dont le pouvoir central publie les lois en plusieurs langues, restent l’exception qui confirme la règle selon laquelle une langue reconnue comme telle coïncide presque toujours avec un état constitué.

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Article de Jérôme Enez-Vriad publié sur bretagne-actuelle.com