Brittany Ferries ambitionne d’exploiter des ferries volants

Brittany Ferries ambitionne d’exploiter des ferries volants

Le nouveau mode de transport, 100% électrique, se déplace comme un hydrofoil et vole comme un avion, tout en conservant le confort et la maniabilité d’un ferry. Fondamentalement attachée au respect de l’environnement dans lequel elle exerce son activité, Brittany Ferries ambitionne un nouveau mode de transport maritime rapide, durable et performant : le Seaglider. À mi-chemin entre l’hydroglisseur et l’avion, ce système fonctionne avec l’effet de sol. Entièrement électrique, il a été inventé par la Start-up REGENT (Regional Electric Ground Effect Nautical Transport) basée à Boston aux États-Unis. Brittany Ferries a signé un accord de partenariat pour participer à la mise au point et au développement de Seagliders d’une capacité de 50 à 150 passagers naviguer entre le Royaume-Uni et la France d’ici 2028. REGENT prévoit que les premiers échanges commerciaux se feront sur des embarcations électriques plus petites à partir de 2025.

Le communiqué

Crédit : Brittany Ferries / Regent

Denez : « Laisser dépérir la langue bretonne est un crime contre la France ! »

Denez (Prigent) chante – en breton – sur tous les continents, mais ne passe quasiment jamais à la télévision dans son propre pays. « Je n’ai rien contre le français, explique-t-il. En revanche, certains voudraient que je ne sois que français. Là, je dis non. » Entretien.

Chanter en langue régionale n’est pas l’idéal pour faire carrière, sauf, apparemment, quand on a le talent de Denez. Cet artiste étonnant parvient à donner – en breton – des concerts à Paris, en Ecosse, en Espagne, en Allemagne, au Québec, au Kazakhstan, en Chine… L’un de ses titres a même été repris par le réalisateur Ridley Scott (Alien, Blade Runner…) dans son film La chute du faucon noir.

La suite

Chronique de Michel Feltin-Palas

De la suppression pure et simple des programmes « régionaux »

De la suppression pure et simple des programmes « régionaux »

Déjà France 3 « Bretagne » fonctionne à quatre départements, ce que beaucoup contestent car on nous parle d’une administration et non de la Bretagne. La météo est présentée à quatre. On privilégie une Bretagne préfectorale, non une Bretagne a priori populaire (les sondages, la pétition des 105 000 obtenue main à main pour la seule Loire-Atlantique et balayée d’un revers de main, les manifestations ou appels à l’unité bretonne). On oublie au quotidien tout ce qui existe à cinq départements : la Bretagne juridique (la Cour d’appel de Rennes est depuis 1804 sur 5 départements,  écologique (Bretagne Vivante), culturelle (la charte signée par Giscard en 1977 sur les cinq départements), en partie économique (Produit en Bretagne créé en 1993), touristique (la Loire-Atlantique avec Bretagne Plein Sud vante la Bretagne pour plus d’attractivité). Ainsi, on nous présente uniquement une Bretagne à quatre alors que le sujet pourrait a minima donner lieu à débat, pourquoi pas changer selon les réalités évoquées. (suite…)

Le Baromètre de l’immobilier des notaires bretons

Le Baromètre de l’immobilier des notaires bretons

Les notaires bretons vous présentent les derniers chiffres de l’immobilier à travers leur baromètre de l’immobilier.
Vous découvrirez les prix sur l’ensemble de la Bretagne historique et par département Côtes-d’Armor, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique et Morbihan.

Cette année encore, les volumes ont été très élevés malgré le contexte sanitaire.
L’érosion que nous constatons par rapport à 2020 est essentiellement due à un déficit d’offres, notamment sur le littoral et dans les agglomérations.

Un marché sous tension

La pression de la demande a des conséquences sur les prix qui s’envolent, en particulier dans les métropoles de Rennes, Nantes ou Brest comme sur le littoral où il n’est pas rare de constater des hausses supérieures à 10 voire 15%.

L’intégralité de l’article

Article publié sur notaireetbreton.bzh

Potentiel de relocalisations en Bretagne : plus de 5 milliards d’euros et 130.000 emplois

Potentiel de relocalisations en Bretagne : plus de 5 milliards d’euros et 130.000 emplois

Plus de 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 130.000 emplois d’ici 2030 : le potentiel de relocalisations en Bretagne a été mesuré dans une étude commandée par l’association Produit en Bretagne, présentée le 12 février 2021. Les domaines sont variés : de l’industrie au tourisme en passant par la cybersécurité et les énergies renouvelables.

5,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 131.648 emplois. C’est le potentiel de relocalisations identifié à l’horizon 2030 pour la Bretagne par Produit en Bretagne. L’étude commandée par cette association qui rassemble 472 entreprises de tous les secteurs (agroalimentaire, distribution, culture, équipement industriel, services…) a été réalisée par Goodwill Management. Ses grandes lignes ont été présentées le 12 février 2021. Elle s’est attachée à identifier quelles relocalisations et quelles localisations pouvaient être envisagées en Bretagne.

L’intégralité de l’article

Article publié sur banquedesterritoires.fr

La proposition de loi Molac en faveur des langues régionales définitivement adoptée

C’est fait ! 247 voix pour, 76 contre. Les députés viennent d’adopter à une large majorité la proposition de loi Molac relative à la protection patrimoniale des langues régionales et à leur promotion.

Il s’agit d’un vote conforme. En deuxième lecture, les députés ont voté sans modification le texte que leur avait transmis le Sénat. La loi va pouvoir être promulguée sans délai et ses dispositions devenir effectives. C’est donc un jour historique pour les langues régionales.

Plusieurs dispositions concernent l’enseignement. Les parlementaires ont voté la possibilité de dispenser un enseignement immersif des langues régionales dans l’enseignement public.

L’intégralité de l’article

Article d’Olivier Mélennec publié sur ouest-france.fr