Une donation inattendue des USA pour la recherche contre le cancer en Bretagne !

Une donation inattendue des USA pour la recherche contre le cancer en Bretagne !

La semaine dernière, des dons recueillis en Louisiane par les associations Breizh Amerika et Souffles D’Espoir ont été officiellement versés au centre de recherche anti-cancer de Rennes, le Centre Eugène Marquis. Au printemps dernier, Breizh Amerika s’est associé à la « Cycle Zydeco » pour participer à une cyclo caritative au cours de leur événement annuel à travers la Louisiane.

Cycle Zydeco, une cyclo festive de 4 jours au cœur du pays cajun en Louisiane, marie à la perfection défi sportif et aventure touristique. Une délégation bretonne de 10 personnes, dont le champion du Tour de France, Bernard Hinault, a pris part à la course dans l’espoir de collecter des fonds pour la recherche contre le cancer.

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Article publié sur le site de Breizh Amerika

Construire une réalité utile

La Bretagne est grande, multiple et d’une incroyable richesse. Des femmes et des hommes agissent au quotidien pour son développement culturel, économique et social.

Bretagne Prospective vous propose de découvrir ces Bretons et leurs initiatives à l’occasion de cette série multimédia intitulée : « Construire une réalité utile ensemble ». Cette série a été réalisée lors des Rencontres Breizh 5/5 de Pontivy.

Vous retrouverez chaque semaine un programme court permettant d’envisager dès à présent des actions concrètes pour construire une Bretagne belle, prospère et solidaire.

Vidéo disponible ici

A la rencontre du .bzh

A la rencontre du .bzh

Breizh, Bretagne, Naoned, Penn Ar Bed… Ces mots peuplent notre quotidien. Ils sont associés à des marques, des entreprises, des associations. Nous les voyons partout et de plus en plus. Ils nous sont familiers et pourtant, connaissons-nous vraiment les femmes et les hommes qui se trouvent derrière ? Plus encore, connaissons-nous les motivations qui les poussent à lier leur image de marque à ces appellations ?

Simple opération commerciale ? Certes, la Bretagne fait vendre, mais est-ce une explication satisfaisante ? Certainement pas, tant le phénomène touche l’ensemble des activités sociales et économiques de notre territoire.

Bretagne Prospective vous propose donc d’embarquer chaque semaine pour une formidable aventure à la rencontre de certains de ceux qui choisissent de s’identifier à cette région qui bouge. A la rencontre de ceux qui convertissent l’émotion en action. Première escale : Quimper à la rencontre de David Lesvenan et du .bzh.

Un point essentiel pour la Bretagne

Un point… Cela peut vous paraître anodin, un petit rien du quotidien qui peuple l’Internet. Et pourtant ce point peut en dire long.

Jusque récemment, un internaute n’avait d’autre choix que d’adopter le .fr ou le .com. Les régions et leurs identités spécifiques devaient s’effacer devant la tentation de constituer une société numérique mondiale. Cependant au tournant des années 2000, le .cat (pour la Catalogne) a prouvé qu’un autre horizon était envisageable. De quoi donner des idées aux Bretons.

C’est ainsi qu’en 2014, la Bretagne devient la première région française à disposer de sa propre extension internet : le « .bzh ». L’association, basée à Quimper, affiche ainsi toute la force de l’identité bretonne.

La Bretagne pionnière

Pionnière et unique en France à son lancement en 2004, l’idée d’une extension régionale est née de l’ambition de faire exister concrètement la Bretagne sur la toile. Impulsé par Christian Ménard, alors député du Finistère, l’idée du « pik .bzh» (point en breton) emporte rapidement le soutien des collectivités bretonnes ainsi que de nombreux internautes.

Il faudra près de dix années de travail et une étude initiale réalisée par Bretagne Prospective pour le compte du Conseil régional, soutien décisif au projet, pour que l’association www.bzh obtienne la validation et l’inscription de l’extension sur Internet.

Alors que le .bzh fête ses cinq années d’existence en 2019, plus de 8 000 entreprises, associations et collectivités se sont enregistrées avec cette extension. Du Stade Brestois à Sabella, en passant par des collectivités comme Quimper, Vannes, Carhaix ou Lannion, nombreux sont ceux qui aujourd’hui ont fait le choix d’y adhérer.

Un atout pour le monde économique

Cet engouement prouve la force du sentiment de bretonnité et surtout son importance dans la création de valeurs. L’adhésion à ce nom de domaine ne serait se limiter qu’à un choix du cœur. En effet, l’association présidée par David Lesvenan, propose un service extrêmement sûr (l’un des moins spammés au monde). Il s’agit par ailleurs, d’un atout communicationnel : le .bzh marque tout à la fois un ancrage breton affirmé et la volonté de se différencier positivement dans l’univers digital. Pépite de sens, le terme breizh (dont bzh est l’abréviation), par son orthographe, est facilement mémorisable. De plus, il est associé à la proximité et au local, deux valeurs aujourd’hui importantes.

L’expérience fait aujourd’hui figure de modèle en France ainsi qu’en Europe. Rappelons que l’initiative, a fait des émules puisque la Corse (.corsica), Paris (.paris) puis l’Alsace (.alsace) se sont engagées dans la même démarche.

De quoi montrer que le « pik bzh » a été un précurseur à qui l’avenir a donné raison.

Pour plus d’information sur l’association

Loïck Roulaud

La Bretagne : une référence en matière d’ingrédients marins pour la cosmétique

La Bretagne : une référence en matière d’ingrédients marins pour la cosmétique

L’article « Les ressources marines ne nous ont pas encore tout dit » publié dans le magazine Industries cosmétiques – n° 20 – décembre 2019, traite de la montée en puissance des actifs marins en cosmétique, notamment à travers le regard d’acteurs bretons tels qu’Agrimer, BiotechMarine Seppic, Lessonia et CBB Capbiotek.

« L’enjeu de la valorisation des algues à visée cosmétologique a porté le développement de toute une filière professionnelle implantée en Bretagne. (…) Riche d’une variété infinie d’actifs, (…) la mer a tout pour plaire en beauté et l’industrie surfe déjà bien la vague. En totale adéquation avec l’exigence de naturalité attendue par les consommateurs, l’alliance mer et cosmétologie évolue au rythme du développement des technologies et biotechnologies marines ajoutant à l’extraordinaire potentiel qu’elle recèle. »

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Article publié sur capbiotek.fr

Mangeons local en Bretagne

Mangeons local en Bretagne

Être ou devenir locavore en circuit court, c’est privilégier ses achats dans un rayon court autour de chez soi. Également privilégier la consommation de produits saisonniers. Ou encore privilégier l’achat directement auprès des producteurs.

Notre alimentation est devenue un sujet de préoccupation majeur et d’avenir pour nos sociétés occidentales dites développées.
On mange de trop et on mange de plus en plus mal. Nous ingurgitons à longueur de repas des matières nocives. A la fois pour notre santé et pour notre environnement. Depuis des lustres, tout a été organisé pour nous éloigner de la nature. Aussi pour entraîner notre agriculture dans une course folle à toujours produire plus en consommant toujours plus d’eau et d’intrants hautement chimiques. Et pour nous imposer une alimentation de plus en plus industrielle.

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Article publié sur nhu.bzh

Vu de Bretagne : les réseaux sociaux, nouvelle arme de construction massive ?

Vu de Bretagne : les réseaux sociaux, nouvelle arme de construction massive ?

Gérard Darmanin, Ministre français de l’action et des comptes publics prétextait récemment que pour des raisons de lutte contre la fraude fiscale, le pouvoir central surveillerait de plus près encore nos réseaux sociaux personnels. Car si les photos que vous étalez sur vos page Facebook et compte Twitter ne semblent pas correspondre aux revenus que vous déclarez, vous pourriez bien être inquiétés.

L’importance accrue des réseaux sociaux.

Dans cet état auto-proclamé des Droits de l’Homme qui fut si Charlie il y a peu encore, la presse dite mainstream est contrôlée et achetée … pardon, « subventionnée ». Parce que presque plus aucun média ne peut survivre dans l’Hexagone sans cette manne d’argent public. C’est celui qui donne l’argent qui a le pouvoir, dans la presse comme trop souvent ailleurs.
Hors cette information truquée et partisane, imprimant à tout va entre fake news et désinformation, il existe un vaste espace de liberté : internet.
Internet et les réseaux sociaux. Les pouvoirs centraux parisien et bruxellois ne le savent que trop bien.

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Article de Rémy Penneg publié par NHU Bretagne