La grande vogue des prénoms régionaux

Le succès des Erwan, Petru et autres prénoms régionalistes traduit l’attachement des Français à la culture historique de leur territoire.

Beaucoup d’entre vous, j’en suis certain, ont déjà aperçu Jérôme Fourquet sur les plateaux télé, entendu ses analyses argumentées, relevé son ton posé et son regard sérieux. Au fil des années, le directeur du département opinion et stratégies d’entreprise de l’Ifop s’est imposé comme l’un des meilleurs analystes de la scène politique française. Et je recommande à tout honnête homme désireux de comprendre notre société la lecture de son dernier livre, « L’archipel français » qui rencontre un succès mérité.

Le rapport avec cette lettre d’information ? J’y viens. Dans ce même livre, Fourquet consacre à l’essor des prénoms régionaux un chapitre passionnant – et très peu relevé. L’évolution est pourtant spectaculaire. Ainsi, en Bretagne, la part des Erwan, Yann et autres Gwenaëlle et Soazig a spectaculairement progressé…

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Chronique de Michel Feltin-Palas sur lexpress.fr

Faut-il enseigner le breton dans toutes les classes pour sauver la langue ?

Faut-il enseigner le breton dans toutes les classes pour sauver la langue ?

« Deskit brezhoneg ». « Apprenez le breton » en version française. Pour ne pas voir sa langue s’éteindre, la Bretagne se mobilise. Mardi, le conseil régional s’est félicité d’ouvrir 16 nouvelles classes bilingues pour cette rentrée, portant à près de 19.000 le nombre d’élèves scolarisés dans la filière. « On n’avait jamais ouvert autant de classes », se réjouit Lena Louarn.

« Il y a encore trop de zones blanches »

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Article de Camille Allain publié sur 20minutes.fr

Apprendre les couleurs en breton

Apprendre les couleurs en breton

Lorsque vous commencez à apprendre le breton, les couleurs peuvent parfois vous poser quelques questions. (…)

Il y a une seule petite difficulté pour les couleurs en breton, c’est concernant le bleu et le vert qui se disent tous deux « glas », mais nous allons y revenir en détail pas de panique.

Ah au fait, en breton la couleur se dit “al liv“, et les couleurs au pluriel se disent « al livioù ».

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Article publié sur le site culture-bretagne.net

Florilège poétique des langues de France

Contrairement à une idée répandue, il est possible de produire de grands textes en corse, en breton ou en basque. La preuve par l’exemple.
Il est un paradoxe français qui m’étonne autant qu’il m’exaspère. Pourquoi, chez nos intellectuels et nos artistes, cet émerveillement devant les cultures et musiques du monde et ce mépris abyssal pour la diversité culturelle hexagonale ? Pourquoi cette admiration (méritée) devant Cesaria Evora et Ravi Shankar et ce désintérêt pour l’étrangeté sur notre propre sol ? La réponse tient en un mot : l’ignorance, et voici un livre qui permettra de la faire reculer.

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Chronique de Michel Feltin-Palas publié sur lexpress.fr

Lucky Luke parle breton plus vite que son ombre

Lucky Luke parle breton plus vite que son ombre

Lucky Luke, le célèbre cow-boy de Morris et Goscinny, maintenant en breton.
Notre héros du far-west a déjà été doublé dans de nombreuses langues dans le monde. Maintenant Brezhoweb, la chaîne télé internet en brezhoneg nous l’offre en breton. Plus exactement dans une série de petits films.

Ainsi le premier des treize épisodes est diffusé aujourd’hui. Ensuite il restera accessible gratuitement en ligne en vidéo pendant six semaines. Donc jusqu’au 18 mai.

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Article publié sur nhu.bzh