17 Jan 2019 | Actualités
Des passionnés du patrimoine aimeraient que Rennes assume son identité bretonne. Ils proposent d’y installer des statues rappelant les codes régionaux. Leur projet a été retenu par la Ville pour son budget participatif.
Rennes n’est pas la Bretagne. Le reproche est souvent fait à la capitale régionale. Et plus on s’éloigne vers l’ouest, plus il est présent dans les discussions de comptoir. L’inauguration, l’année dernière, de la ligne à grande vitesse (LGV), mettant la ville à 1 h 30 de Paris, a amplifié le phénomène, laissant entendre que la ville administrée par Nathalie Appéré ne serait plus qu’une lointaine banlieue. Si cette vision relève plus de la caricature que d’une réelle étude sociologique, il n’empêche. Les Parisiens y sont effectivement de plus en plus nombreux, et la ville se densifie au risque de perdre le peu d’identité bretonne qui lui reste. C’est en tout cas le constat fait par la toute jeune Association Patrimoine Commun, créée en novembre dernier et réunissant une soixantaine de passionnés.
Voir l’intégralité de l’article
Article de Philippe Créhange publié sur Le Télégramme.
17 Jan 2019 | Actualités
Trois quarts des communautés de communes ou d’agglo de Bretagne ont connu une progression de leur population entre 2011 et 2016, selon une étude de l’Insee publiée ce mardi. Dans le détail, le boom rennais se poursuit et Brest Métropole se redresse, tandis que le Centre-Bretagne, Morlaix et Lannion souffrent.
Rennes Métropole dans le vert, Brest y revient
Rennes reste le poumon démographique de la Bretagne. La métropole de la capitale bretonne a vu sa population gonfler de 1,4 % par an, en moyenne, sur la période 2011-2016, trois plus vite que celle de la Bretagne administrative (+ 0,5 %). Rennes Métropole occupe ainsi le quatrième rang français des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) en termes de croissance de population. Elle le doit autant à son solde naturel (différence entre naissances et décès) qu’à son solde migratoire (différence entre le nombre d’arrivées et de sorties). Même si elle n’affiche pas le même dynamisme, Brest Métropole peut se targuer de redresser la barre…
L’intégralité de l’article
Article publié dans Le Télégramme
16 Jan 2019 | Actualités
Le tribunal administratif de Rennes ne réussit pas à écrire la lettre bretonne c’h correctement quand il rédige une ordonnance pour faire évacuer les Gilets jaunes d’un giratoire brestois.
Ce lundi 14 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Rennes a ordonné aux Gilets jaunes de quitter les abords du rond-point de Pen ar C’hleuz, à l’entrée de Brest. Il donne ainsi raison au préfet du Finistère, qui l’avait saisi de cette demande.
Mais le tribunal administratif de Rennes ne s’embarrasse guère de la toponymie. Il écrit tout au long de son ordonnance datée du 10 janvier Pen Ar Ch’leuz à Brest ! L’effort de mettre l’apostrophe est bien là, mais pas au bon endroit… C’est à peu près comme si on vous écrivait langue-de-bœuf à la place de langue-de-vache : pire, Ch’leuz ça ne veut rien dire.
L’intégralité de l’article
Article de Christian Gouerou publié dans Ouest-France
15 Jan 2019 | Actualités
Certains évoquent Rennes comme la dernière station de métro avant Paris et ces propos sont dangereux sous peine, à terme, de réduire la Bretagne à une forme de Finistère. D’autres exaltent la capitale de la Bretagne, disent qu’il s’y déroule le plus grand fest-noz ou que le Stade Rennais est “le” club emblématique du foot breton.
Article de Jean Ollivro
L’intégralité de l’article dans le n° 228 de la revue ArMen
11 Jan 2019 | Actualités
Delphine Le Poupon, de Tréguier, sera l’ambassadrice de l’artisanat français lors du Festival Al-Qurain, au Koweït mi-janvier. Elle présente ses créations en nacre d’ormeaux.
Mardi 15 janvier, depuis Tréguier (Côtes-d’Armor), des coquilles d’ormeaux du Trégor-Goëlo voyageront pour leur destination finale : le Moyen-Orient, et plus particulièrement le Koweït.
Ou comment ce trésor local, emblème de nos côtes bretonnes, se retrouve embarqué dans une aventure où les créatrices d‘Ys Paris ont à cœur de promouvoir à l’international le savoir-faire français et l’artisanat local.
L’intégralité de l’article
Article publié dans La Presse d’Armor