Keeping Faith, la série télé galloise sur Amazon Prime et Brezhoweb

Keeping Faith, la série télé galloise sur Amazon Prime et Brezhoweb

La série suspense galloise Keeping Faith était disponible jusqu’à présent uniquement sur Amazon Prime Vidéo et récemment adaptée par TF1 (sous le nom de « Gloria »). Elle est diffusée dans sa version doublée en brezhoneg/breton sur Brezhoweb à partir du Vendredi 6 novembre. Il s’agit de la première diffusion gratuite en France de la série Keeping Faith.

Brezhoweb, chaîne de télévision sur internet en langue bretonne basée à Auray, diffuse deux épisodes de « Keeping Faith » tous les vendredis soir à 20:45. Ensuite les épisodes sont disponibles en replbzhay gratuit pendant plusieurs semaines sur le site de Brezhoweb.

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Article publié sur nhu.bzh

La marque Prince de Bretagne va doubler sa production de légumes bio

La marque Prince de Bretagne va doubler sa production de légumes bio

Prince de Bretagne certifiera 100 % de ses exploitations en Haute valeur environnementale (HVE) d’ici à 2022, vient d’annoncer la marque maraîchère bretonne. Actuellement, Prince de Bretagne compte 25 % de maraîchers plein champ et 50 % de maraîchers sous abri certifiés HVE. Deux chiffres qu’elle se projette de doubler en 2021, afin d’atteindre la pleine HVE en 2022.

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Article de Christophe Violette publié sur ouest-france.fr

Il milite pour la création d’une filière de chanvre thérapeutique

Il milite pour la création d’une filière de chanvre thérapeutique

Au XVIIIe siècle, la Bretagne était recouverte de champs de chanvre qui servait à confectionner des cordages, des vêtements, des voiles… Aujourd’hui, la région n’en compte plus que quelques dizaines d’hectares. L’autorisation du chanvre pour des usages thérapeutique et bien-être, pourrait changer la donne. Pierre-Yves Normand milite dans ce sens depuis Quimper (Finistère).

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Article d’Adèle Leberre publié sur actu.fr

Le Gwell à l’ancienne, ce gros lait fermenté breton, veut son AOP

Le Gwell à l’ancienne, ce gros lait fermenté breton, veut son AOP

La recette traditionnelle du Gwell, ce gros lait fermenté breton, élaboré à la ferme ou à la maison, a été retrouvée en 1981, raconte Stanislas Lubac. Un collectif de quelques producteurs laitiers s’est passionné pour les vertus de ce gros lait, à l’usage encore très confidentiel. Mais les produits ont plu : qu’il soit nature, sucré et salé, les consommateurs en voulaient. Jusqu’à déposer la marque à l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi) en 1993.

Voilà un an tout juste, ils ont fondé leur association, présidée par Nicolas Guérin, éleveur à Donges (Loire-Atlantique), qui réunit quinze producteurs dans toute la Bretagne.

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Article de Christophe Violette publié sur ouest-france.fr

La plus petite usine française de pulls marins tricote une nouvelle maille de son histoire

La plus petite usine française de pulls marins tricote une nouvelle maille de son histoire

Depuis 1986, Dominique et Isabelle Josselin confectionnent des pulls marins dans les Côtes d’Armor. C’est un couple de trentenaires en reconversion qui va poursuivre l’histoire de leur entreprise. Une transmission en douceur pour assurer la pérennité de la marque « Baie de Caps ».

« Monsieur Josselin était le patron, il est devenu salarié et moi, je suis patron mais je suis un apprenti ». Dans un sourire, Geoffroy de Pinieux décrit la situation peu banale que vit l’entreprise « Baie des Caps » depuis mai 2019. Mai 2019, une date qui marque pour les Josselin comme les Pinieux le début d’une nouvelle vie.

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Article de Nathalie Rossignol publié sur France3-bretagne

Quel avenir pour l’algoculture en Bretagne ?

Quel avenir pour l’algoculture en Bretagne ?

La production française de macroalgues a été de 80 000 tonnes en 2019 et ce sont principalement des algues récoltées en mer en Bretagne et pas des algues d’élevages (algoculture). Ces algues qui sont récoltées par les goémoniers sont principalement des laminaires qui servent avant tout dans l’industrie alimentaire pour la fabrication des gélifiants que l’on retrouve partout jusque dans nos glaces. Ces algues entrent aussi dans les aliments pour le bétail et dans les engrais. A noter qu’au début du 20e siècle, on en était à 120 000 tonnes par an. La production a énormément baissé après 1950 et la profession de goémonier avait presque disparu ! Le goémon entrait autrefois dans la fabrication du verre, des explosifs puis de l’iode (la teinture d’iode). Dès le 16e siècle on construisait sur le littoral du Finistère des fours à soude pour fabriquer des pains de soude.

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Article de Philippe Argouarch publié sur abp.bzh